LES ÉVANGILES INVISIBLES (11/15)

LES ÉVANGILES INVISIBLES (11/15)

LES ÉVANGILES INVISIBLES (11/15)

Annexe : LES APOCALYPSES INVISIBLES

Enfin, … un peu moins invisibles que les Évangiles puisqu’elles se déroulent sous nos yeux !

Ces « Révélations » (=Apocalypses) qui doivent toutes nous être faites à la Fin des Temps sont probablement aussi nombreuses que les langages qui nous ont servi pour prétendre qu’ils pouvaient être considérés comme autant d’Évangiles…

Je me contenterai d’en examiner deux qui me semblent être aux extrêmes du sujet.

La première est entièrement du fait des êtres humains, alors que la seconde peut venir d’ailleurs, et nous tomber dessus, si nous ne savons pas l’anticiper par nous-mêmes, comme des grands (… crétins) !

Cette dernière est le chouchou des survivalistes américains qui sont pourtant loin d’en imaginer tous les aspects, et il semblerait que la première leur échappe plus ou moins, ne serait-ce qu’à cause de leur langue, une variété d’anglais, qui la leur rend moins explicite que nos équivalents français…

Qui veut faire l’ange fait la Bête ?

Un nouvel exemple qui illustrerait que l’anglais est bien la « Langue de la Bête », celle de l’Apocalypse « officielle », justement ! Allez, c’est parti pour une liste de coïncidences…

Au premier siècle, autour de leur « Pierre de Lumière », le Lichtenstein, sont apparus les Angles. Dans la langue de l’époque, le latin, les mots « anges » et « angles » étaient les mêmes, ce qui n’a rien d’étonnant car les « anges » se manifestent sous forme d’angles dans le symbolisme géométrique, où ils définissent les directions des droites qui émanent de Dieu, placé au centre de l’espace !!! Évidemment, des angles qui vivent par terre, ici bas, sont nécessairement déchus !

Ils sont ensuite partis vers l’Ouest, à travers l’Allemagne, en passant bien sûr par leur « Ville de Lumière » (le Luxembourg), la seconde source de leur Lumière, devenue depuis, comme l’autre, un Paradis Fiscal. Pour arriver sur LEUR île, la base avancée dont ils partiront conquérir le reste du monde. Cette terre des Angles (ou des Anges…) l’Angleterre, (en anglais Ang-land ou Eng-land), qui aura accueilli en son temps les versions, réformées par Luther et Calvin, les plus dégénérées du Christianisme, et des autres Doctrines.

Et ils ont porté partout la Lumière de leur inspirateur !

Donc l’anglais est bien la langue des anges déchus, mais c’est plutôt le slang, leur argot, qui est la « Langue de la Bête », puisque c’est celle qui est la plus fructueuse pour diffuser des messages subliminaux, dont le prototype reste Hotel California, la chanson des Eagles ! À l’endroit on entend le récit de la nuit d’amour d’Aleister Crowley (le mec condamné par un tribunal anglais au XXème siècle pour magie noire ! Et inspirateur de la culture Rock révoltée) et de la Bête ! Pourquoi lui faire l’amour ? Parce que « You can’t kill the Beast ! » ! (On ne peut pas tuer la Bête). Et joué à l’envers, c’est un rituel de messe noire ! Pour les détails des trucs en backwardmasking, allez sur MostHolyFamilyMonastery.com

Ce genre de « codage » est identique à celui qui permet de reconnaître le nom d’un produit sur un logo même reflété à l’envers par un miroir ou vu par transparence à travers une vitre. Sauf qu’à l’écoute, contrairement à la vision, on ne l’identifie pas, mais on reconnaîtra le son du message inversé quand on l’entendra. Et on le croira vrai, puisqu’on l’aura reconnu, sans trop savoir ce qu’il veut dire, ni d’où il vient, comme le reste… ! De toute façon Lucifer n’est pas pressé… Il prend tout notre temps !

Et pour la langue : Molière ou Shakespeare ? Être ou ne pas être gentilhomme ?

Parce que pour les « parlant anglais », la programmation des ordinateurs ou des robots est une affaire de « soft–ware », un jeu de mots sur les outils de « hard–ware » de la quincaillerie : « hard », c’est dur, « soft », c’est mou ! Leur mot « hardware » n’a pas vraiment d’étymologie, il est considéré comme indécomposable.

Si vous avez parcouru mon texte sur les Évangiles Invisibles, vous avez pu en conclure, ce dont je me suis bien gardé de vous le suggérer, que notre « matière » n’était que l’APPARENCE de la manifestation LOGIQUE de sa possibilité. Et qu’au fond, elle n’est qu’une illusion provenant d’un Principe complètement invisible, et qui s’amuse à produire des conséquences cohérentes, où des « choses » illusoires sont conscientes d’elles-mêmes (nos esprits), et ont conscience d’autres choses, non moins illusoires.

Autrement dit tout ce à quoi nous attribuons une existence « réelle », comme les corps solides en particulier, ne sont que les apparences prises par le développement des possibilités de la Logique !

Elles sont illusoires parce qu’elles ne sont pas, à elles-mêmes, leur propre principe, et c’est le sens du mot sanscrit maya, donc, à nouveau un truc dont vous ne pourrez pas m’attribuer la découverte… Corrélativement, le Principe, Lui, n’est pas une illusion ! D’ailleurs Il se garde bien de le faire croire, puis qu’Il reste caché ! Sauf pour nos consciences illusoires à qui Il permet logiquement d’avoir l’illusion logique de Le comprendre… ou de Le connaître ! Limpide, non ?

Ce qui nous amène à un coup de pouce providentiel du Saint Esprit pour nous révéler la véritable nature du « software », mais en français : Le Logiciel !

Mot inspiré vers 1969 à des « victimes » de l’Esprit Saint pour exprimer (dévoiler) et traduire l’anglais, qui lui, ne dévoile rien ! Or il y a évidemment un rapport, probablement accidentel (?) entre le « logiciel » et la Logique, ou même le Logos. Et l’ingénieur informaticien dispose d’un Principe, limité à l’expression des mécanismes, et manifesté au niveau des idées (!), qu’il va pouvoir organiser, énoncer, et faire exécuter par un matériel qui saura l’utiliser, lui donner vie.

Donc il est Dieu, et il s’acoquine avec le Logos officiel qui est le fabricant de son matériel pour que des compilateurs rendent ses choix à lui (algorithmes) « exécutables ». Un autre fabriquant, son Logos personnel, s’occupera du « logiciel de base » (compilateurs et système d’exploitation), qui jouent le rôle du Saint Esprit pour que le matériel ait l’air de comprendre ce qu’il fait !

Essai de contribution à votre information et votre culture…

Les piquousés de l’Information ou de l’Énergie Universelle (… et quantique, forcément, aujourd’hui !) confondent généralement l’information et l’énergie elles-mêmes et leurs manifestations…

Or ce ne sont que deux des types d’essences du Principe ! Donc rien de très matériel !!! L’in–formation est l’essence (la définition de la possibilité) des « formes » ou des « aspects », que les choses qui en sont issues (produites par le Logos), vont prendre, et l’én–ergie (une « force en action »), est le mouvement (également produit par le Logos) qui va résulter de la manifestation d’une force essentielle, l’énergie, (donc non manifestée).

Les deux « solutions » miraculeuses des piquousés ne sont que deux des aspects du Principe de Saint Jean, mais leur besoin de les matérialiser leur fait tout louper !

L’information est identifiée avec ses manifestations, en particulier électroniques, puisqu’il y a maintenant des ordinateurs pour s’en occuper… Mais on la retrouve sous forme magnétique ou même matérielle sans s’occuper d’où elle sort ni d’où elle va.

La pluralité de ses manifestations dans différents domaines montre bien qu’il ne s’agit que d’une essence !

Un Blue Ray Disc n’est qu’un bout de plastique. L’information qu’il véhicule a besoin d’outils appropriés pour se communiquer à nos consciences (nos esprits), produire des images et des bruits. Un logiciel d’affichage de textes n’y lira qu’une série de caractères en fonction du code qu’il utilise. Sur un disque à 4 couches, si ce code est de l’« ASCII » ou de l’« ANSI » (256 caractères codés chacun sur 1 octet –8 bits–, celui utilisé par le présent auteur), on aura un texte de 32 millions de pages de gribouillages incompréhensibles. Si c’est considéré codé en « Unicode » (un peu moins de 60.000 caractères différents codés sur deux octets, mais c’est pas le meilleur moyen d’apprendre le Chinois, le Japonais ou le Coréen…) on économisera la moitié des pages. Si on se contente d’y lire de l’« hexadécimal » (numérotation en base 16, les 10 chiffres de 0 à 9 plus les 6 lettres de A à F codés sur un demi-octet) on noircira 32 millions de pages de plus.

Le tout, une « information » parfaitement inutile, sans montrer la moindre image animée que les physiciens, les ingénieurs et les techniciens croient y avoir « enregistrée ».

On s’est demandé à propos des Évangiles si le Principe était juste « Le Principe » ou s’il était le Principe DE quelque chose ! On doit se poser la même question à propos de l’Information ! Mais la réponse est plus compliquée. L’information, une fois manifestée, n’existe que par rapport à ce qui la « fabrique » en fonction de ce qui va la « recevoir », et sa dépendance de sa source et de son récepteur pour sa manifestation font qu’elle est le plus souvent conventionnelle, ce qui nécessite que les considérations soient identiques ou compatibles au départ et à l’arrivée. Une peinture pourrait être le prototype d’une source d’information, mais écoutez ce qu’en disent les spectateurs… c’est pas plus homogène que notre Blue Ray lu par un afficheur ASCII ! Si on scanne cette peinture, on pourra la reproduire avec son « information » sur tous les écrans et les imprimantes de la planète, alors que le scanneur n’aura produit qu’une suite et 0 et de 1, mais que les écrans et les imprimantes sauront restituer de la même façon, une « preuve » de l’universalité de l’information digitale, passée par tout un tas de domaines (électronique, éventuellement magnétique, puis électronique à nouveau avant de redevenir matérielle au niveau des imprimantes)… Tous les intermédiaires numérisés sont d’accord ! Et aucun n’y a « compris » quoi que ce soit !

La simple existence d’un objet est une « information » si quelqu’un en a besoin. Ou quelque chose (un détecteur de présence par exemple).

Quant à l’énergie en tant qu’essence du mouvement, c’est aussi le vrai nom de la Vie, donc, précisément le boulot même du Logos, une fois de plus. On ne la connaît qu’une fois manifestée, et qu’on peut éventuellement lui attribuer une mesure, sous ses formes physiques les plus rustres. Quand il s’agit vraiment de la Vie elle-même, les mesures deviennent impraticables. Mais vos kW.h, eux, vous seront facturés !

Le besoin de matérialisation force les scientifiques à imaginer un « Big Bang » aussi tonitruant que leur incompréhension abyssale de la Logique. Les moins atteints se demandent ce qu’il y a « avant » ce Big Bang sans pouvoir en arriver au Principe métaphysique pour lequel les êtres humains ont bien besoin d’une Révélation divine… Et Saint Jean n’est pas le seul à en avoir parlé… Et évidemment il leur faut une date pour leur « création de l’univers » ! Alors que logiquement toutes les dates sont manifestées à la manifestation du temps… Et aucun d’entre nous ne sait vraiment ce qu’il y avait avant la manifestation de son esprit, ou plutôt s’il y avait quelque chose !

Revenons à notre logiciel, SVP !

Évidemment la GROSSE différence, est que le développeur de logiciel a besoin d’un matériel produit par le VRAI Logos, alors que Dieu et son Logos n’ont besoin que de leur Principe qui dispose (en interne…) de la possibilité de manifester leurs « fantaisies »…

La comparaison la plus frappante avec les productions du duo Dieu/Logos semble bien être les jeux vidéo ! Là aussi, tout ce qui apparaît sur l’écran est tout à fait virtuel, donc illusoire, mais les consciences humaines s’y laissent prendre… alors qu’elles savent pertinemment qu’il n’y a rien de « VRAI » (de réel), ni de palpable !

Mais c’est une façon d’être dans un paradis artificiel sans avoir eu besoin d’allumette ni de chillum…

Dans les univers virtuels, pas le moment de perdre la boule !!!

Et mon illustration préférée, parce que vraiment très simple, en est la programmation d’un jeu de pétanque.

C’est en effet assez primitif, d’autant que je vais me limiter aux bases.

Lesquelles sont : disposer d’un certain nombre de boules de même taille et d’une plus petite (le cochonnet) et d’un sol horizontal pour faire rouler tout ce petit monde !

J’imagine que vous pouvez concevoir que les boules soient facilement définissables en tant que sphères de rayon donné R ! Pour vous rassurer, leur équation, élémentaire, est x2+y2+z2=R2, pour une boule dont le centre est situé à l’origine de l’espace. Difficile de faire plus simple dans un espace à 3 dimensions x, y, et z ! Le cochonnet lui, aura la même équation de définition avec un « r » plus petit que le R des boules. Quant au sol, son équation est simplement z=0 ! À tout de suite…

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