La thérapie du 21ème siècle sera-t-elle quantique, métaphysique ou simplement logique ? (N°27 Effort)

La thérapie du 21ème siècle sera-t-elle quantique, métaphysique ou simplement logique ? (N°27 Effort)

La thérapie du 21ème siècle sera-t-elle quantique, métaphysique ou simplement logique ? (N°27 Effort)

Comme promis, pour une fois !!!

Petit rappel de la vision quantique/métaphysique de l’action humaine

Imaginez que vous considériez (c’est une considération de considération…) traverser une rivière en marchant sur l’eau ! Puisque vous venez de le faire, on a la preuve que cette considération est possible… à considérer. Le facteur qui vous a permis de faire de cette pure possibilité une pensée (une considération) va-t-il pouvoir faire de cette possibilité une réalité matérielle ? Pourquoi pas puisqu’Il a bien réussi à actualiser une simple possibilité sous forme de pensée. Alors pourquoi ne pouvez-vous pas marcher sur l’eau ? Parce que quand vous mettez un pied dans l’eau, il s’enfonce, et que vous voyez des tas de gens utiliser des embarcations pour traverser à pied sec ! Ce ne sont que deux autres considérations, mais l’existence des embarcations vous a CONVAINCUS de l’impossibilité de vous en passer pour traverser les rivières quand il n’y a pas de pont… Or le facteur qui fait passer des possibilités au stade de leur réalisation tient compte de TOUTES vos considérations à la fois, votre paradigme, sinon vous n’en seriez pas libre… En effet, s’Il rajoutait les Siennes ou effaçait les vôtres, vous seriez dépendant de Son bon Vouloir ! Vous vous souvenez peut-être que nous en avons parlé : tout le monde Le connaît ce facteur : c’est Ogmios pour les Celtes, le Logos pour les Grecs, Vishnou pour les Hindous, et Log ou le Tao pour les Chinois, autrement dit le Verbe. Il n’est autre que CE qui accomplit les actions humaines, ou qui réalise les considérations des esprits humains (une autre façon d’en parler). Comment pensez-vous qu’une montagne puisse se déplacer en chantant une tyrolienne simplement parce que vous lui dites de le faire ? Ou que vous puissiez arrêter une tempête comme les marins du Christ n’ont pas su le faire et ont dû le Lui demander ? Vous vous restreignez généralement à des considérations d’actions que votre corps peut « faire », mais même dans ce cas là, c’est le Verbe qui accomplit vos « ordres » puisqu’Il est à votre service comme Il l’a signalé à Pierre, et qu’Il nous a prévenus que « Sans Moi, vous ne pouvez RIEN faire ! ». Vous ne pouvez pas marcher sur l’eau parce que votre paradigme inclut la considération que les embarcations sont indispensables ou quelque chose d’équivalent. Non, il ne suffit pas de changer d’avis pour ne plus se noyer, et nous devrons examiner ça plus tard.

Mais prenons un autre exemple : vous considérez probablement qu’un engin volant quelconque est nécessaire pour que votre corps puisse flotter dans l’air pendant plus que quelques fractions de secondes quand vous sautez (si vous vous jetez du haut de la Tour Eiffel, votre « flottement » sera un peu plus long, mais vous ne pourrez probablement plus en témoigner !). Parce que, malheureusement, de tels engins existent aujourd’hui, ce qui vous confirme dans votre considération qu’ils sont indispensables pour léviter. Et voilà pourquoi les témoignages de lévitation sont devenus si rares depuis l’invention de l’aviation. Or il y a des exemples AVÉRÉS ET CÉLÈBRES, comme les lévitations de Thérèse d’Avila pendant des années, de Marthe Robin plus près de nous, ou de quelques « accidents d’exorcisme » où le « patient » a décollé de son lit en emportant les aides de l’exorciste au plafond.

Toutes les « constatations » qui meublent votre paradigme ne sont QUE des considérations puisque c’est tout ce qu’un esprit peut faire, et le fait de les considérer comme des « vérités absolues » définit, donc limite, en fait vos possibilités d’action. Et j’ai pu le constater : une de mes amies faisait léviter des objets sans difficulté. Quand je lui ai dit qu’en ce qui me concerne j’avais pu facilement agir sur des déplacements d’objets (comme des boules de flipper, des planeurs ou des voitures…) mais que je n’avais jamais réussi à en initialiser un, elle m’a répliqué : « C’est parce que tu crois trop à ce qu’on t’a raconté à l’école ! » Et comment ai-je su que c’était vrai ? Parce que je n’ai jamais mis en doute la réalité du soi-disant « principe d’Inertie » alors que je suis fâché avec l’accélération de Coriolis qui serait nécessaire pour modifier une trajectoire (ce que l’inertie interdit aussi, mais je la considère plus comme une propriété des objets immobiles, alors qu’une fois en mouvement , l’objet n’est manifestement plus inerte, en tout cas pour ma considération !)

Mine de rien en examinant ce que je viens de raconter, vous devriez avoir un début de solution pour ce que vous considérez comme impossible… Sans avoir recours à l’hypnose (auto ou pas) : Car si vous arrivez à « vaincre » une difficulté par l’hypnose, ce n’est qu’une couche de plus sur vos considérations handicapantes et ça les renforce. Une fois votre emplâtre épuisé, votre handicap reviendra de plus belle et sera encore plus difficile à masquer. À sa grande époque, il a fallu une vingtaine d’années pour que les porteurs de verrues « guéris » par hypnose voient revenir leurs « bourgeons ». Ce qui a considérablement freiné le développement de la technique dont ça mettait en évidence la fragilité des résultats. Alors que le traitement des considérations bloquantes que j’évoquais vous en débarrasse définitivement. Ça n’empêche pas que l’hypnose puisse vous libérer temporairement, mais sachez que c’est de l’allopathie : ça ne guérit (efface) pas la cause.

Allez, on revient vers Anthony !

Vous êtes prêts quand les choses semblent sans effort

La notion d’effort est particulièrement brumeuse. Je vais prendre une anecdote personnelle. Un soir j’ai du remonter une route de montagne pour rejoindre des copains après avoir laissé ma voiture déraper dans un virage. Comme je voulais arriver avant qu’ils se couchent, j’ai donc considéré que j’étais déjà chez eux. Et mon corps est parti à toute vitesse. Quand je suis arrivé ils ne voulaient pas croire que j’avais pu remonter aussi vite de si loin. Mais quand on est arrivé à la voiture ils ont bien dû se rendre compte de la réalité. Or pendant la montée, j’avais eu l’impression d’être suivi par une locomotive à vapeur qui, bien sûr, n’existait pas ! En fait, c’était ma respiration que j’entendais. Alors bien sûr je n’ai pas fait d’effort en considérant que j’étais arrivé et je n’ai pas eu l’impression d’en faire en laissant courir mon sac de viande et d’os, mais il a dû se douter de quelque chose, parce que pendant deux jours je n’ai plus senti mon pouls !

Ce qui me laisse à penser qu’il faut restreindre la déclaration d’Anthony au fait de ne pas se sentir forcé de prendre telle ou telle décision… Ce qui nous ramène à nouveau dans l’émotivité. D’autant qu’il faut faire la chose pour savoir si elle « semble sans effort » ! Ce qui ne rend pas très pratique l’exécution de cette directive…

Encore un peu d’émotion :

La façon dont vous vous sentez détermine ce que vous attirez !

Alors, ça n’est pas faux, même si c’est généralement pas pris en compte par les gens négatifs qui n’arrêtent pas de rouspéter sans avoir fait le rapport entre leur attitude mentale et les ennuis de leur vie… parce que dans leur paradigme, l’esprit ne peut pas influer sur les événements. Et ils passent leur vie à démontrer le contraire !

Dès que vous considérez la moindre difficulté, vous venez de la manifester et vous ne tarderez pas à vous en apercevoir : vous savez le : « Je te l’avais bien dit » des donneurs de leçons et des moralisateurs. Avec l’explosion des sports extrêmes (vélo, skate board, ski, parapente, surf, etc.) où on voit des tas de jeunes gens faire des pirouettes invraisemblables on peut croire que cette race de créatures négatives est en train de s’éteindre. Mais le plupart du temps vous n’avez pas besoin d’un comparse pour vous saper le moral : les journaux, ou la science qui vous dit qu’il faut des médicaments pour guérir votre corps et un médecin pour savoir comment les administrer, mais on reviendra précisément là-dessus…

Restons sur les directives anthoniesques :

Le moment pour agir, c’est quand vous sentez l’émotion positive

Pour moi, l’émotion la plus positive, c’est la sérénité, sauf que ce n’est plus une émotion ! C’est bien au-delà. En pratique faire quelque chose par « jeu » est un peu plus bas, mais encore plus élevé que des émotions comme l’enthousiasme et bien plus efficace.

Attention, ne pas confondre l’enthousiasme de joueurs de foot ou de rugby qui viennent de gagner un match avec celui de spectateurs qui croient les avoir aidés en gueulant pour les supporter : l’émotion la plus répandue est l’apathie. Mais il ne faut pas la confondre avec de la dépression. Fondamentalement L’APATHIQUE EST UN SPECTATEUR, et il peut prendre tous les aspects : on peut le voir pleurer si c’est triste, avoir de la compassion s’il y a de l’espoir, être en colère s’il perçoit une injustice, faire semblant d’être intéressé si on lui parle de ce qu’il croit, exulter devant un feu d’artifice, être indigné en regardant une manif. En bon spectateur il se fait manipuler et il aime ça, donc il peut vous dire que dans cet état il ressent une « émotion positive » et qu’il est même en extase ou qu’il y a quelque chose qu’il ADORE (à quoi mon frère lui rappellerait « qu’on n’adore que Dieu », depuis le fond de son apathie à lui !)

La directive d’Anthony présuppose une connaissance suffisante des états émotionnels pour savoir si c’est le moment d’agir. Une connaissance qu’il ne fournit pas et qui peut aussi expliquer bien des échecs pour suivre ses indications.

La prochaine fois on passera en revue des indications qui portent un peu plus sur des aspects quantiques qu’émotionnels donc : à bientôt !

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