La thérapie du 21ème siècle sera-t-elle quantique, métaphysique ou simplement logique ? (N°37 Quantique)

La thérapie du 21ème siècle sera-t-elle quantique, métaphysique ou simplement logique ? (N°37 Quantique)

La thérapie du 21ème siècle sera-t-elle quantique, métaphysique ou simplement logique ? (N°37 Quantique)

L’épisode N° 36 se terminait par l’évocation d’une expérience décrite dans TheLivingMatrix et celui-ci va démarrer par l’évocation d’une autre expérience de la même vidéo.

Rien ne sert de courir, il faut juste être au point !

Difficile de savoir si c’est plus feintant alors je vous la livre telle quelle, à vous de voir !

Il y a une trentaine d’accidentés qui ont besoin de rééducation musculaire. On en fait deux groupes et au premier groupe, on leur FAIT FAIRE les exercices, alors qu’on assoit les autres dans des fauteuils en leur faisant seulement IMAGINER faire les exercices !

Au bout de deux semaines, ils sont tous dans le même bon état !!!

C’est une expérience intéressante pour illustrer la différence entre une thérapie quantique et l’hypnose.

On n’y essaye pas de convaincre les cobayes que leurs cuisses deviennent plus épaisses, on leur dit de « considérer » (et de les imaginer) des choses que leurs corps peuvent « comprendre », et la preuve, c’est que les corps l’ont fait… Et on n’a pas essayé de leur faire croire en quoi que ce soit, comme mes séminaires d’extériorisation où je recevais des gens qui avaient juste vu mes affiches et n’avaient jamais pratiqué quoi que ce soit ou été endoctrinés d’une quelconque façon, ce que je me gardais bien de faire à mon tour.

Pour moi, les thérapies quantiques concernent l’esprit au sens où l’expérience des images aléatoires en indique la réalité et l’efficacité, comme pour les locataires des fauteuils dans l’exemple en cours.

Vous avez probablement entendu parler de l’action de l’esprit sur la matière, mais vous êtes-vous aperçu que vous la pratiquiez sans arrêt, encore que d’une façon généralement bien peu efficace. Pour soulever un stylo de quelques grammes, vous faites se déplacer des kilos de viande et d’os en levant votre bras ! Pourtant c’est bien votre décision (ou votre considération combinée avec la considération de votre intention qu’elle se manifeste) qui a amené votre bras à bouger, donc l’esprit a bien agi sur la matière !

J’ai eu une copine qui n’avait pas besoin d’utiliser son corps, ou celui des autres, pour déplacer des objets, y compris les faire voltiger. Mais j’ai fréquenté plusieurs individus capables de faire faire au corps des autres des trucs que leur propriétaire n’avait pas prévus, sans rien leur dire. Et il semblerait que cette version de la psychokinèse soit plus fréquente que celle à quoi on pense ordinairement.

Alors revenons un peu à notre empilage de manifestations.

On est tous des magiciens !

Et repartons des possibilités, ou disons des principes « individuels » (comme ça c’est plus nettement le résultat de nos considérations), c’est comme on veut !

Une considération, c’est-à-dire simplement une pensée finalement, est déjà la manifestation de son principe. Mais quand vous avez manifesté votre boule orange, cette manifestation elle-même est devenue la production de votre considération et elle correspond à un nouveau niveau de manifestation du principe dont votre considération elle-même était déjà la manifestation. Vous suivez toujours ? Alors pourquoi limiter vos considérations au fait de ne manifester que des images mentales ? On vient de le voir, si vous considérez que vous bougez un membre quelconque, cette considération, ou du moins son principe, peut manifester le mouvement auquel vous pensez !

Et vous remarquerez que vous n’avez pas à considérer individuellement chaque muscle impliqué, juste la position finale ! Comme quand vous avez bougé votre écran : le corps s’est débrouillé.

Reprenons le processus complet : vous CHOISISSEZ DANS LE FOUILLIS DU PRINCIPE la considération que vous voulez manifester, et elle commence par manifester la considération elle-même. Puis, si cette considération est susceptible de se manifester à un autre niveau, vous … le constaterez si ça a lieu !

C’est là le hic ! Comment savoir au moment de la seule considération qu’elle peut manifester ses conséquences dans un domaine autre que la pensée ? C’est pour ça que notre John T. était si prudent. Et qu’il appelait le travail et l’obstination au secours de ce qui ne se manifeste pas tout de suite, contrairement à ce qu’il laisse à penser au début de son bouquin.

Autrement dit le vrai problème à résoudre en ce qui concerne les « actions quantiques », c’est quoi faire si ça ne marche pas ?

Alors, c’est quoi qui fait tout ça ?

En fait pour l’instant on n’a aucune idée de ce qui fait passer d’un principe à sa manifestation à quelque niveau que ce soit !

Sur la base de nos expériences seules, en effet.

Mais si nous demandions au Principe ce qu’Il en pense ?

D’autant qu’Il l’a expliqué un grand nombre de fois, et que ça a été retranscrit très clairement, en particulier par Saint Jean, le ci-devant disciple que le Christ aimait !

Soyons simplets, comme un nouveau né ! Jean démarre en disant « Dans le Principe était le Verbe ». Surprise ! Le nouveau-né doit savoir ce que sont le Principe et le Verbe. Pour le Principe, il n’a pas eu besoin de lire les 35 épisodes pour savoir ce que vous avez fini par en comprendre. Il en vient directement ! (en tant qu’esprit, bien sûr !)

Quant au Verbe, c’est une des possibilités, un des principes « individuels » du Principe, et même, puisqu’il faut bien commencer par ce qu’on veut obtenir : le principe qui fait passer d’une simple possibilité à sa manifestation ! Donc c’est le fabricant de notre nouveau né !! Qui doit savoir de quoi il s’agit !

Où il y a de la genèse, il y a du plaisir, ou ce n’est pas à un vieux Saint Jean qu’on apprend à faire des grimaces..

Mais continuons : « Et le Verbe était Dieu, et le Verbe était avec Dieu ». Ça y est ! Saint Jean a attendu trop longtemps pour écrire son évangile, il est devenu gâteux !!!

Pas si sûr ! Si le Verbe est la seule chose évidente en ce qui nous concerne, nous autres, coincés dans une manifestation inexplicable autrement, il faut malgré tout que cette manifestation ne soit pas n’importe quoi, qu’elle soit ordonnée ! Or le Verbe n’est « que » celui qui va la manifester. Pour l’Ordre, il lui faut des directives, et donc que Dieu, soit AUSSI et en même temps (et au même « endroit ») dans le Principe, où ni l’un ni l’autre ne sont manifestés. Alors Dieu ordonne à son Verbe de se manifester, ce qui va entraîner la manifestation simultanée de Dieu. Et le Verbe est bien le Fils Unique de Dieu, puisque tous Ses enfants ultérieurs seront très différents…

Attention, quand on parle de manifestation à ce niveau là, rappelez-vous que votre esprit est manifesté mais invisible, et qu’on ne le sait qu’à cause de ses effets…

Attention aussi, avec notre langage mal adapté à ce genre de choses, on envisage un genre de succession qui nous fait penser à de la chronologie… Or à ce stade, il n’est pas encore question de manifester le temps, et cette succession n’est QUE LOGIQUE ! D’ailleurs c’est la possibilité de cette logique qui sera au principe de ce qui « deviendra » (un futur logique !) le temps.

Autrement dit, Saint Jean a très bien vu les trois « phases » : d’abord la constatation que le Verbe était dans le Principe, ensuite que cette « possibilité de manifestation » impliquait celle d’un choix, d’un ordre, et de façon inséparable tant que rien n’avait été manifesté, puis la séparation du Verbe et de Dieu consécutive à sa propre manifestation, et la manifestation distincte de Dieu, conséquence de celle du Verbe ! D’ailleurs, Saint Jean s’arrête là, parce que la « suite » était déjà dans la Bible : la première manifestation dont Dieu donne l’ordre, c’est celle de la Lumière (intelligible), ne serait-ce que pour que nous puissions connaître la réalité de la « manifestation » de nos deux artisans ! Et comme les histoires de succession, cette distinction n’implique aucunement une séparation de type spatial entre nos deux acteurs puisque l’espace non plus n’est pas encore manifesté ! Ce n’est, également qu’une distinction LOGIQUE !

D’ailleurs dans la suite du verset où Jean nous indique que « le Verbe était AVEC Dieu », c’est cette séparation des « pouvoirs » qui fera dire à Jésus que Seul le Père connaît la date et l’heure de la fin des temps, puisque c’est Lui Seul qui ordonne…

Mais c’est le prototype d’un CHOIX ! Commencer par Lui-même pour pouvoir manifester le reste. Or ce sont ces choix qui vont définir la fonction de Dieu proprement dit, ceux qui vont mettre de l’ordre, ordonner ce ramassis de possibilités contradictoires, pour ne garder que celle « compatibles », pendant que le Verbe se « contentera » de réaliser ce qui est choisi. En regardant bien, le « choix » de la première possibilité n’était pas bien difficile à faire, puisque c’était la seule nécessaire pour toutes les autres. Il n’en va pas de même pour le fouillis des possibilités « restantes » et cette fois il faut quelque chose qui SACHE TOUT POUR POUVOIR CHOISIR. Et nous savons ce qu’Il a choisi ! Que toutes les manifestations à partir de là, soient « compréhensibles », « connaissables », ce que les Hindous appellent Buddhi, les Chrétiens l’Esprit Saint, et la Bible, la fameuse Lumière du « Fiat lux » !

À partir de là, « Il » va pouvoir commencer à manifester en masse ! Et au début Dieu est tout seul dans ce jeu du choix, et au vu des résultats Il ne s’est pas trop mal débrouillé ! Mais pourquoi faire ça tout seul ? Alors Il va choisir le principe de ses images pour que son Verbe les manifeste, et ce sera les hommes. C’est uniquement parce qu’il n’avait pas lu ni prévu Teilhard qu’il a oublié de commencer par des amibes !!! Le job principal de ces hommes sera de continuer le travail de choix pour manifester ce dont Dieu laisse la liberté à ses images.

Et c’est là que c’est plus facile de choisir quand on connaît tout, comme Dieu, que quand on n’est qu’une image toute plate qui ne voit pas très bien en perspective dans la troisième dimension…

Et comme Dieu tient absolument à laisser leur Liberté à ses images, il les laisse venir se balader dans ce monde de la dualité, non sans les prévenir de ce qui les attend, parce que Lui le sait, c’est même Lui qui en a ordonné la manifestation.

Et c’est pas simple ! Or comme on vient de le voir, la première manifestation ordonnée par Dieu était celle de la possibilité de connaissance, ce qui se traduit pour nous et pour le reste par « Celui qui nous enseignera tout ce qu’on a besoin de savoir ».

Or il est remarquable qu’aujourd’hui tout le monde se foute de l’Esprit Saint dont les « opérations » sont l’occasion d’ironiser, comme de tous les autres noms qu’il a eus au cours des siècles, en particulier, Sophia, la Sagesse, cible des philo-sophes qui prétendent donc l’aimer mais lui tournent le dos !

Or c’est dommage parce que le recours à cette Sophia nous rendrait d’une certaine façon aussi sage que Dieu dans nos choix puisqu’on connaîtrait tout ce qu’on a BESOIN de savoir !

Et on pourrait être digne de ce dont on est l’image… en en prolongeant Sa fonction. Et notre devoir est de choisir les considérations cohérentes de notre paradigme qui doit couvrir l’intégralité du monde possible !

Autrement dit : Il organise le monde par Ses choix, et nous devons en faire autant de notre paradigme, notre monde à nous, dont nous sommes les dieux. Alors suivons son exemple !

Pour Dieu comme pour nous, il suffit qu’une possibilité se manifeste par une pensée pour que le Verbe la prenne en compte, ce qui est garanti par le fait que nous sommes des images de Dieu et ce que le Verbe a confirmé en expliquant à Pierre qu’Il était à notre service. Si cette considération porte sur quelque chose qui n’est pas manifesté mais qui pourrait l’être parce que rien ne s’y oppose, la manifestation aura lieu.

Mais nous ne sommes les dieux que de notre paradigme, donc c’est là que nous devons chercher les incohérences ou les cohérences qui nous bloquent.

Ce que nous verrons la prochaine fois…

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