Les parasites de l’administration ne peuvent plus forcer les autres à n’être utiles que 35 heures par semaine…

Les parasites de l’administration ne peuvent plus forcer les autres à n’être utiles que 35 heures par semaine…

Les parasites de l’administration ne peuvent plus forcer les autres à n’être utiles que 35 heures par semaine…

En fait ils n’ont jamais pu les forcer à le faire !

Si quelqu’un voulait travailler 12 heures par jour il n’avait qu’à en demander une dérogation à une instance inconnue…

Eh bien il n’aura plus à le faire !!!

Si des employés veulent travailler plus de 35 heures par semaine, ils n’auront plus à demander une dérogation à une autre instance tout aussi inconnue. Il suffira que leurs syndicats se mettent d’accord avec leurs patrons. Au cas où ces syndicats les trahiraient, comme ils le font depuis leur institution, ils peuvent recourir à un référendum !

Des référendums pour éviter les couacs de la législation et du gouvernement…

La Gauche passe donc de la dictature à la démocratie !!! Et on dira que les imbéciles ne changent jamais d’avis… Car il n’y a pas que pour les 35 heures qu’on pourra recourir à des référendums !

Et pour les 35 heures, on les annule éventuellement, mais sans qu’on parle de demander à la mère Aubry, aux pépères Jospin et DSK, et à la famille Mitterrand, de rembourser ce qu’ils ont fait perdre à la France depuis leur loi idiote.

Pour un lobotomisé de gauche une entreprise est nécessairement un lieu de conflit entre la vilaine direction et les saints employés : ils ne peuvent pas imaginer que tout le monde travaille pour le même but ! Donc ils ont inventé les syndicats pour assurer la pérennité des situations de conflit, en oubliant, mais l’ont-ils jamais su ? que « toute maison divisée contre elle même périra » ! Comme les pays divisés entre la « droite » et la « gauche » !

Et comme les fainéants des syndicats doivent défendre les ouvriers inconditionnellement, ils viennent aussi à la rescousse des parasites en oubliant que ce n’est pas jouer le jeu de l’entreprise dans son entier et de ceux qui y travaillent correctement et en dépendent…

Côté 35 heures, si les esclaves de l’administration s’emmerdent dans leur travail, ils peuvent rester chez eux, ça nous coûtera moins cher de les payer à ne rien faire que de les laisser passer leur temps à nous emmerder…

Je comprends bien qu’ils ne peuvent pas imaginer qu’on puisse aimer travailler, j’en ferai autant à leur place, mais les éleveurs de cochons qui travaillent jusqu’à plus d’heure le font en partie parce qu’ils aiment leur métier et en partie parce qu’ils y sont forcés par les fainéants imbéciles qui s’occupent de normaliser un métier auquel ils ne connaissent rien !

Une exception peut-être ? Un médecin allopathique en sait probablement autant que ceux à qui il obéit, et il pourrait aussi bien faire de la politique que de faire croire à ses patients qu’il peut les guérir… ou les soulager d’autre chose que de leur pognon ou de celui dont nous avons fait cadeau à la sécu…

Les Socialistes, et les « gens de gauche » en général, qui n’ont pas envie de faire quoi que ce soit, même si ça pouvait être utile, prétendent protéger les travailleurs contre l’esclavagisme des vilains patrons et se contentent de foutre la merde dans la production, ce qui entraîne des dettes florissantes au niveau des états et le développement de la pauvreté et du chômage.

À propos de la réforme de l’orthographe venue des mauvais élèves, j’attendais qu’on doive écrire wazo !

Avec un « w » comme dans Waterloo ou William, pas comme dans vagon (sic) !

Parce que, dans la version antédiluvienne précédente, aucune voyelle du mot « oiseau » ne se prononce comme son nom l’indique, et même le « s » se prononce « z » ! En plus, s’ils sont en meute, on leur rajoutait un « x » qui ne se prononçait pas !!!

J’ai entendu à la TV que l’orthographe devrait évoluer en fonction de l’usage et pas par des diktats sur les dictées. Mais le brave homme qui disait ça, s’était-il rendu compte que l’orthographe est imposée par notre enseignement laïque et qu’elle était, par là-même, normalisée et intouchable. Quand le peuple veut en changer l’usage, il parle verlan ou SMS, mais il ne touche pas à son sacro-saint vocabulaire appris sous hypnose. Et c’est pour ça que c’est les mauvais élèves qui veulent réformer l’orthographe, une tentative d’autant plus pitoyable que tout le monde a maintenant un correcteur informatique à sa disposition…

Bienvenue à un nouvel aspect de la dictature de gauche !

Les normes, c’est en effet énorme !

Quand les mécaniciens ont eu besoin de normes pour que leurs engins puissent être fabriqués et réparés partout, ils les ont fait eux-mêmes en connaissance de cause.

Depuis cette époque bénie, des « normalisateurs » ignares ont la prétention d’imposer leur façon de bosser à ceux qui savent et qui travaillent, et c’est le plus souvent grotesque ! Si des fruits ou de légumes sont moches, les producteurs en baisseront le prix sans avoir besoin de l’avis de quiconque pour pouvoir les vendre aux pauvres ! De toute façon ils ne peuvent ni vendre à perte ni prétendre à des prix exorbitants dont personne ne voudrait, et ils n’ont pas besoin de conseils pour faire leur métier sans affamer les pauvres qui seront contents d’avoir de la bouffe imprésentable à l’Élysée ou à Matignon.

Schengen : la preuve qu’on n’est pas les seuls crétins sur la planète…

Nouvelle démonstration d’irréalisme par nos « gouvernants » : on vire les frontières avant d’avoir équilibré les marchés des différents pays. Et c’est un peu tard pour ajuster les droits de douane puisque le mot douane a disparu de la précédente réforme orthographique. Donc du jour au lendemain nos producteurs ont été en concurrence légale mais déloyale avec les cochons des autres pays. Et personne ne peut plus rien y faire puisque tout est géré par la Sainte Europe !

Cameron a eu beau négocier une Europe « à la carte », qui a fait pleurnicher Hollande, rien ne prouve que les Anglais vont le suivre…

D’ailleurs, en général les politiciens ne sont jamais aussi fiers que quand ils ont décidé des trucs débiles. Rappelez-vous les pleurs de joie de Fabius à la COP21, la veille du jour où Obama et son Congrès a démontré qu’il n’avait rien à foutre de ce qui avait été « décidé ». Et l’autre gourde de Royale toute fière d’avoir hérité du titre de présidente de la COP21 qui est pourtant morte et enterrée depuis quelques semaines… c’est la COP22 qu’on prépare, et c’est au Maroc ! Ségolène va pouvoir se faire bronzer…

Et si les employés de l’administration étaient dispensés de voter ?

Parce que c’est tout de même ceux qui ont le plus besoin d’avoir un Président inutile !

Remarquez que ce n’est pas parce qu’ils seraient interdits de vote qu’on aurait le choix entre des candidats moins pathétiques !

Le plus simple est tout de même que plus personne n’aille voter, mais qui oserait aujourd’hui passer pour un mauvais Français qui ne fait pas son DEVOIR ÉLECTORAL ?

Or le vote n’est qu’un droit, c’est l’élu qui a un devoir !

Alors, où sont les cons ?

Rêvez à la retraite que vous auriez si vous aviez été ministre pendant une semaine ! Et vous n’auriez même pas eu besoin de faire quoi que ce soit de pire qu’un autre…

C’est même en ne faisant rien que vous coûterez le moins cher au pays…

Ironies des circonstances, les « unes » de quelques journaux…

En particulier le Canard Enchaîné qui a remarqué que « l’accent était toujours mis sur le chômage »… de quoi y perdre son latin !

En revanche la une du Parisien et d’Aujourd’hui en France avec la photo de Hollande et le titre « Monsieur Bricolage » n’est pas bien charitable vis-à-vis de cette enseigne où l’on peut tout de même trouver des outils qui fonctionnent !

Ce qu’il y a de chouette avec la liberté de la presse c’est qu’on n’a plus rien à foutre de leurs vannes même méchantes, ils ne les ont écrites que parce qu’ils sont libres de le faire, ça n’a plus aucune importance : cette liberté n’impose plus d’annoncer des vérités aussi relatives soient-elles.

Pourquoi croyez-vous donc que Hollande se fiche des gens qui le ridiculisent, en supposant qu’il en soit au courant, et que ses nombreuses carpettes inféodées ne prennent pas un malin plaisir à lui cacher les mauvaises nouvelles le concernant.

Toutefois lors d’une de ses dernières interviews télévisées il a eu fort à faire avec des inquisiteurs moins qu’amicaux. Mais a-t-il seulement entendu leurs questions, et percuté leurs insinuations ?

« Sans la liberté de blâmer, il n’est pas d’éloge flatteur » Et si on a cette liberté, qu’est-ce que cela change ? Mais allez donc voir sur Internet tout ce qu’ils ont pu perdre comme temps pour raconter ce que cette formule leur inspirait…

Le moral dépend de la production !

Admettons que cette formule d’origine américaine puisse tenir debout, n’expliquerait-elle pas pourquoi les parasites de l’administration (y compris le juridique) sont aussi en forme.

S’ils pensent qu’ils sont là pour foutre la merde, ils n’ont aucune raison d’être démoralisés : leur production est même une des seules à se développer, qui restent dans notre beau pays.

Leur seule concurrence ne peut venir que des politiques ! Et encore est-elle très relative, parce qu’avant d’être élus, ils doivent convaincre des troupeaux de bestiaux ! Ce n’est qu’après leur élection qu’ils sont libres de provoquer des désastres de plus grande ampleur que de simples bureaucrates…

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