L’Occident malade de l’Allopathie !

L’Occident malade de l’Allopathie !

L’Occident malade de l’Allopathie !

[1/3] Maladie contagieuse qui s’est étendue à toute la planète ! Ce post a été inspiré par un article du numéro 103 du magazine Nexus sur le sur-diagnostic de la Maladie d’Alzheimer. Il reprend certains éléments du post que j’ai consacré à ce numéro !

L’allopathie n’est pas qu’un système thérapeutique, c’est une façon de penser psychotique qui a provoqué bien des dégâts et des décès…

Il faut remonter à Aristote et à sa manie des catégories. On prend un paquet de trucs un peu hétéroclites, et on en fait des sous-paquets, généralement arbitraires, auxquels on donne des noms !

En médecine, ça s’applique en faisant des listes de symptômes réunis dans des assemblages mûrement réfléchis (ou pas), et on leur donne un nom de maladie. En fonction de quoi le médecin va « soigner des MALADIES » (en fait combattre les « maladies » qu’il vient d’inventer !) alors que TOUS LES AUTRES systèmes thérapeutiques (hippocratique, ayurvédique, traditionnel chinois, spagyrie, homéopathie, dianétique, anthroposophie, etc.) vont soigner des MALADES…

Si en consultant des textes de ces pratiques vous tombez sur des noms de maladie ou d’organes, vous saurez qu’ils ont été écrits par des Occidentaux ou des débris intoxiqués par des Occidentaux. Car la psychose allopathique touche aussi le besoin de considérer les organes comme s’ils étaient indépendants, un peu comme les morceaux de viande chez le boucher, sauf qu’alors ils ne sont plus très vivants ! Un allopathe inspiré (René Leriche) a même déclaré que « La santé c’est le silence des organes ! ». La mort aussi, mais il paraît que cette citation a été amputée… l’original serait : « La santé c’est la vie dans le silence des organes » ! J’ai du mal à voir en quoi c’est plus intelligent ! Comme si un organe vivant était silencieux !!! À moins que ce soit le médecin qui soit sourd !

Mais les catégories aristotéliciennes ne sont que des vues de l’esprit comme l’illustre le prodigieux ornithorynque ! C’est un oiseau puisqu’il a un bec de canard et qu’il pond des œufs, c’est aussi un mammifère puisqu’il a des poils, et qu’il donne du lait à ses petits, et c’est un farceur puisqu’il pèche les yeux fermés en « regardant » avec son bec ! Et c’est un poison puisqu’il est toxique !

Même dans les cas où on pourrait penser avoir un VRAI critère de regroupement, comme avec un classement alphabétique des auteurs dans une bibliothèque, ça ne marche pas. Quand Mademoiselle Atchoum devient Madame Zombi, où classe-t-on ses bouquins ? Et quand un livre est collégial, quel est l’auteur dont le nom va servir au classement ?

Ce n’est que depuis les moteurs de recherche de l’informatique qu’on se fiche de classer les bouquins et de la façon dont les moteurs se débrouillent, en utilisant, d’ailleurs, plutôt des algorithmes et des logiques « floues », que des classements.

J’aime rappeler que Korzybski pensait avoir « démontré » que les           maladies étaient des abstractions et que ce mot ne recouvrait rien de palpable, alors que le mot « malade » décrivait parfaitement l’état de santé, pas idéal, de l’individu concerné. Or ce dont on se souvient de ce Comte, c’est que « La carte n’est pas le territoire ! », ce dont tout le monde se fout… sauf les pilotes qui volent « à vue » et qui savent qu’il vaut mieux se baser sur ce qu’ils voient de la campagne pour identifier les dessins de leurs cartes géographiques, que l’inverse.

Mais le message principal et complètement loupé de notre Alfred, c’est qu’il est primordial d’avoir la « CONSCIENCE D’ABSTRAIRE ». Sauf qu’il aurait dû examiner un peu plus attentivement que le simple fait de donner un nom à une chose est déjà une abstraction et c’est surtout de celle-là qu’il aurait dû s’occuper pour nous rendre service. Au lieu de ça, il faisait remarquer qu’on ne prend pas « LE train », mais « UN train » ! Et ses émules, praticiens de sa Sémantique Générale, en sont réduits à des jeux de mots qui ne fascinent qu’eux ! Comme par exemple quand ils font remarquer à un vétéran de la Grande Guerre qui tient à ce que les : « Couleurs de la France soient Bleu, Blanc et Rouge », que ce n’est pas le cas « vues d’avion » ! Jouer sur l’ambiguïté du contexte, qu’on n’indique pas, est pitoyablement puéril et permet à ceux à qui on veut montrer qu’ils sont cons, d’être persuadés que c’est le Sémanticien qui devrait arrêter ses pratiques alimentaires toxiques…

Allopathie, la recherche de la petite bête !

Un gros coup de pouce a été donné à Aristote par l’allopathe René Descartes avec sa suggestion que la « big picture » est trop compliquée et doit s’étudier en en étudiant ses « composants » (ce qui suppose qu’il peut y en avoir, comme si un organisme était comparable à une pendule pleine d’engrenages démontables !). En pratique si vous voulez étudier quelque chose commencez par la démonter (c’est-à-dire la détruire !) et examinez les débris ! Quelle méthode géniale !! Tuez le malade et l’autopsie le guérira : la preuve il ne se plaint plus…

Et quand quelqu’un est malade, il arrive que l’on trouve des bricoles dans son corps, bactéries, virus ou mycéliums. Et l’allopathe jubile : il va pouvoir s’occuper de combattre ces enquiquineurs et ne plus avoir à s’occuper du malade proprement dit.

On vous a appris à l’école que les globules blancs se nourrissaient des bactéries et autres microbes ! C’est parfaitement faux. Ils SONT LA FORME SOUS LAQUELLE ON RETROUVE LES BACTÉRIES dans un milieu au pH (acidité/alcalinité) à 7.2 et au rH2 (oxydation) vers 28, correspondant à un sang humain en bonne santé, comme l’ont vérifié Louis-Claude Vincent et quelques autres. Mais les allopathes chargés de vous bourrer le crâne ne vont pas vous expliquer qu’il suffit de ramener les coordonnées du sang aux valeurs normale pour se débarrasser des ennemis qu’ils croient devoir combattre. Autrement dit ce qu’ils appellent la phagocytose des globules blancs est en fait une cytogenèse.

En fait, que l’on parle de « bourrage de crâne » ou de « lavage de cerveau », on est en train d’utiliser un vocabulaire allopathique ! Il vaudrait mieux parler de bourrage du mental avec des déchets putrides, parce que le cerveau n’a pas grand chose à y voir ! Et si c’était le mental qui était lavé, nous serions en excellente santé, pas seulement psychologique, mais spirituelle et physique, ce qui n’est pas souvent observable. Les méthodes thérapeutiques évoquées plus haut savent qu’un corps humain vivant est L’APPARENCE D’UNE COMBINAISON d’un corps, d’une âme (le mental) et d’un esprit. Mais leurs praticiens se fichent de ce genre de détails, puisqu’ils savent, qu’avec leurs pratiques, ils s’occupent de tout à la fois ! Nous on a des toubibs pour le corps, des psys pour l’âme, et des curés et des politiciens pour le reste…

La psychose allopathique a aussi sévi en psychologie ! Où on va encore y chercher des « maladies » ! Alors laissez tomber les « complexes », « névroses », « psychoses » (y compris l’allopathie qui n’est finalement qu’un mot de plus…) : Si vous vous mettez entre les mains d’un psychologue ou d’un psychanalyste, une fois transformé en légume apathique, vous vous croirez probablement guéri puisque vous aurez atteint ce fameux « silence des organes » (ceux de votre âme), et c’est vrai que vous n’aurez plus de problème… autre que de retrouver votre vie… Un mort aussi ne souffre plus !

Mais on ne peut pas parler d’allopathie, pas plus en tant que doctrine thérapeutique qu’en tant qu’état mental pathologique, sans évoquer cet autre idole moderne et escroc allopathique : Louis Pasteur ! Comme si c’était nécessaire pour un allopathe, à l’ouest par nature, d’en rajouter, il a passé sa vie à tricher avec ses expériences et à plagier ses confrères, comme Antoine Béchamp. Sur son lit de mort, Louis aurait avoué, « C’est Béchamp qui a raison, le microbe n’est rien : c’est le terrain qui est tout ! » En attendant les allopathes de son époque ne pouvaient pas comprendre les travaux de Béchamp, et grâce aux allopathes diffuseurs des lycées et collèges, on est tous atteints d’allopathie.

Regardez ce que je vous montre : vous ne me verrez plus !

C’est l’histoire du sage qui montre la lune et de l’idiot qui regarde son doigt, mais à l’envers : si votre « sage » est un allopathe, ce qu’il vous montre est pour vous distraire ! Dis-traire, c’est « tirer hors de la voie » : dérouter… Voilà pourquoi ils sont si forts et si appétissants !

Mais au delà des aspects sémantiques qui montrent l’inanité des classifications, l’allopathie a un inconvénient bien plus grave, et qui la « sauve » bizarrement ! Elle se polarise sur ce qui ne marche pas pour lui donner des noms d’oiseaux.

 

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