Organismes, Asservissements, Thérapies ! (17/Principe)

Organismes, Asservissements, Thérapies ! (17/Principe)

Organismes, Asservissements, Thérapies ! (17/Principe)

Pour terminer commençons par examiner le commencement : le Principe !

Cette « Possibilité Universelle » est à la fois Unique et multiple comme on l’a vu. Toutes les possibilités « individuelles » qu’on peut y trouver n’ont précisément aucune réalité individuelle, à part le fait que nous puissions les considérer librement. On peut les fusionner comme la possibilité que notre stylo soit dans l’univers ou les éparpiller comme le fait que le stylo puisse être à chaque endroit de l’Univers.

Ce n’est donc pas du tout une vision ensembliste : le Principe n’est pas l’ensemble des possibilités individuelles, qui n’en sont pas les « éléments ». Ce qui montre à nouveau que les Indiens d’Amérique étaient meilleurs métaphysiciens que nous puisqu’ils avaient compris que « Tout est lié » !

Soit dit en passant ce Principe est un sacré foutoir, pas seulement à cause du flou de sa structure mais à cause de tout ce qu’il représente : TOUTES les possibilités (manifestables ou pas) ou les possibilités de TOUT, y compris les âneries, les mensonges, etc.

Autrement dit ça serait bien d’y mettre un peu d’ordre avant de tout manifester, simplement « Parce que c’est possible ! ». En particulier parce que certaines possibilités ne peuvent pas se manifester simultanément, comme le fait que deux corps solides soient au même endroit en même temps.

Alors qui fait le tri ? C’est encore dans Jean 1:1 que l’on trouve la réponse : « Et le Verbe était Dieu » et aussi « Et le Verbe était avec Dieu ». Dieu est donc le deuxième aspect de la logique ! Le Verbe fabrique et Dieu fait le tri, autrement dit il ordonne. Il met de l’ordre et donne des ordres ! Que le Verbe réalise. C’est nous qui voyons le boulot du Verbe avant celui de Dieu, comme nous le présente Saint Jean !

Son premier ordre ? « Fiat Lux ».Que le nous soit ! Pour les Hindous, Buddhi est aussi la première production de Brahma !

On devait peut être prendre exemple sur Lui et choisir avant de faire… Puisque nous sommes paraît-il des images de Dieu !

Or Dieu connaît forcément le Principe et les possibilités compatibles avec une production cohérente, donc Il peut choisir en connaissance de cause !

Mais nous le pouvons aussi grâce à sa première production, ce nous qui doit nous apprendre « tout ce que nous avons besoin de savoir » !

C’est juste que nous ne l’écoutons pas…

Mais comme vous le voyez, il n’y a rien de « mystique » ni d’« ésotérique » dans tout ça. Le mystère ne vient et ne perdure que parce que nous n’y faisons pas attention…

Pourtant même la physique moderne est un peu obligée de reconnaître ces interdépendances avec son vocabulaire spécial.

L’unicité du principe se traduit par le fait que, comme ils disent, la réalité est « fractale » et « holographique ».

C’est-à-dire que cette unicité de source va fabriquer indéfiniment des choses semblables, et qu’on va pouvoir les observer en examinant à peu près n’importe quoi.

C’est ce que démontrent la réflexothérapie ou l’acupuncture et que je voudrais illustrer avec l’iridologie.

Les iris sont les miroirs du corps…

C’est peut être moins romantique que de dire que les yeux sont les miroirs de l’âme, mais c’est plus utile. Vous trouverez sur le Web, comme d’habitude, la topologie que les iridologues utilisent pour l’examen des iris, je ne vais pas la détailler ici. Ce qui les intéresse c’est de localiser les organes dans les secteurs du cercle, ce qui m’intéresse, c’est de constater que tous ces organes se situent entre les deux systèmes nerveux : l’orthosympathique et le parasympathique, ce qui est rarement figuré. Mais qui représente bien le plan directeur des organismes vivants.

Contentons-nous d’une historiette : quand quelqu’un a un gros rhume, l’iris n’indique rien, comme s’il ne pensait pas avoir besoin de montrer davantage l’état du malade en train de moucher et de cracher. Refile-t-on à ce malade des antibiotiques et deux choses apparaissent dans l’iris : des taches pathologiques dans la zone des poumons et de multiples taches médicamenteuses un peu partout dans les zones du corps…

Claire démonstration de mon discours sur l’intérêt relatif de l’allopathie : le désordre superficiel est devenu profond (donc les symptômes sont partis) et chronique (donc on n’a rien gagné !). Plus : une intoxication générale qui sera heureusement temporaire. Chez un individu normalement énergique, les indications apparaissent dans l’iris en quelques heures. Si le malade est épuisé, ça peut prendre jusqu’à 3 jours.

La couleur de l’iris ne vient pas de pigments mais de son épaisseur très faible qui provoque des « irisations » (des interférences lumineuses) comme celles d’une trace d’essence sur le bitume de la route. Ce sont les variations de cette épaisseur minuscule qui dessinent les différentes taches tout en ne nécessitant qu’une énergie infime.

Un examen des iris est d’autant moins invasif que ça peut se faire calmement en prenant des photos pour les étudier en face des schémas du Web. Une utilisation des photos bien plus utile que les selfies hystériques…

Ça permet aussi de suivre presque en temps réel les effets de vos bidouillages thérapeutiques. Et c’est plus détaillé qu’un papier à pH.

Les physiciens passent à nouveau à côté de ce qui est important…

Cette considération intellectuelle d’un univers fractal et holographique pourrait les emmener bien plus loin, parce que c’est celle (avec un autre vocabulaire) des thérapies traditionnelles.

Et que nous allons retrouver dans les symboles utilisés dans certaine pratiques comme les gris-gris africains, ou les talismans. La matière en est aussi importante que la forme. Une des formes modernes c’est les médaillons OSENS.

J’aimerais mieux avoir affaire avec une sorte d’initié authentique à une doctrine traditionnelle, mais quand on voit dans quel état ils sont ! Les premiers à se vautrer ont été les franc-macs, quand ils sont devenus spéculatifs avec les Constitutions d’Anderson (1723). Autrement dit, depuis qu’ils ne sont plus opératifs, ils ne savent plus de quoi ils parlent.

Donc on en est réduits à chercher des corrélations « en aveugle » mais il semblerait que l’inventeur d’OSENS ait fait un boulot intéressant.

En revanche, ne gaspillez pas votre fric dans des combines pseudo scientifiques (genre HFC) ou basées sur des coïncidences farfelues impliquant des relations numériques entre des trucs dépendant d’unités différentes.

Ça peut donner l’impression de marcher, mais surtout ça risque de vous rendre dépendant de la prétendue technologie invoquée, et ça va foirer le jour où vous en aurez vraiment besoin.

Rappelez-vous la puissance de l’effet placebo !

Un truc ne fonctionne la plupart du temps qu’à cause de cet effet, pas à cause de ce qui lui sert de prétexte.

C’est très difficile de trouver un truc qui ne produise aucun effet ! Même ne « rien » faire produit des effets (voir le jeûne !).

N’hésitez pas à consulter des praticiens quantiques qui ne savent pas d’où viennent leurs capacités inattendues : guérisseurs, « magnétiseurs », « énergéticiens », ou même adeptes du Reiki, de la reconnexion d’Eric Pearl, de la Trame de Patrick Burensteinas ou fans des chakras.

Ces trucs flirtent un peu avec le psychique qui est un domaine que j’essaye d’éviter, mais si vous tombez sur un mec qui vous fait du bien !…

En revanche ce qui est purement psychique comme l’hypnose ou la sophrologie, tâchez de les éviter quels que soient les résultats : c’est beaucoup trop coûteux à long terme.

Les thérapies « quantiques » style EMDR ne sont pas particulièrement dangereuses mais fournissent davantage de soulagements que de vraies guérisons faute d’une véritable connaissance du mental et de l’esprit. En plus l’EMDR dépend de votre possibilité de localiser un traumatisme et je m’en voudrais de ne pas citer un procédé complètement opposé.

Rappelez-vous une série de moments de plaisir (vous recevez du fric, du chocolat, des félicitations, etc.), et écrivez-en une liste. Puis, pour chacun, revoyez des détails dans votre souvenir, genre : les couleurs, les bruits, les odeurs, les mouvements, etc. en moins d’une heure vous risquez de vous en sortir transformé et ça peut tenir quelques mois. Mais ça finira par retomber, ce qui vous donnera l’opportunité de recommencer. La théorie derrière ce procédé est un peu tordue et je vous en ferai grâce.

Mais les moments de plaisir sont tout aussi utilisables que les moments désagréables, n’en déplaise à Freud et aux autres !

Pour montrer que je ne suis pas bloqué sur la diététique et le quantique, je voudrais terminer par quelque chose d’extra ordinaire, une sorte d’ornithorynque thérapeutique !

Vous savez, l’ornithorynque ! Le mammifère venimeux qui pond des œufs, qui a des poils et un bec de canard, et qui chasse en regardant avec son bec ! Autrement dit, le truc parfaitement improbable, inclassable…

Je veux vous parler d’un poison qui n’est, ni de l’allopathie parce qu’il ne cherche pas à combattre quoi que ce soit, ni de l’homéopathie parce que les doses ne sont pas assez diluées ! Un truc dont j’ai déjà parlé sur mon blog et au sujet duquel vous trouverez les détails opérationnels chez Michel Dogna.

Et c’est très approprié pour une conclusion puisqu’il faut bien chlore ce feuilleton !

Sous forme de chlorure de sodium, le chlore est un peu nécessaire à la vie, encore que les « autorités sanitaires » nous précisent bien : « Pas trop de sel, de sucre et de graisse », en oubliant « Pas trop de goudrons » parce que ce ne serait pas politiquement correct…

En dehors du sel de table, le chlore est surtout utilisé pour désinfecter, c’est-à-dire tuer tout ce qui nous ennuie…

La forme utilisée par le MMS1 est dérivée des purificateurs de piscines, c’est l’ion dioxyde de chlore, et fonctionne, d’après moi, de la façon suivante. Il se barre dans tout l’organisme et squatte n’importe quoi. Si c’est une cellule néfaste, il la rend plus néfaste et déclenche les automatismes d’évacuation de la cellule en question. Si c’est une cellule saine, elle fera partie des milliards de cellules usées que l’organisme rejette chaque jour…

En fin de compte, il aura donné l’occasion à l’organisme de se débarrasser d’un truc qu’il n’avait pas réussi à éliminer jusqu’ici. Le MMS1 est fameux pour guérir des maladies pas simples, genre cancer ou paludisme (la maladie la plus mortelle de la planète, même si ça n’est pas chez nous…). Ce dernier est guéri, paraît-il en 4 heures !!!

Shakespeare l’avait bien dit à Horatio : « Il y a plus de choses sur la terre et dans le ciel que dans tout ce que rêve ta philosophie ! »

Le sectarisme est une forme de paranoïa, mais l’acception béate inconditionnelle est une forme de schizophrénie !

Donc ne vous jetez pas sur la première théorie venue, ni pour l’adopter, ni pour la réfuter, sans l’examiner. Comme les examens que vous pouvez faire vont dépendre de votre paradigme, faites en sorte qu’il inclue le Principe, le Verbe et l’Esprit Saint, en sachant de quoi vous parlez ! Donc pas seulement des mots qu’un perroquet dirait aussi bien que vous !

Je l’avais bien dit : « Il folklore » ! Eh bien cette fois c’est clôt ! Na+ ! (Cl !)

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