Un paradigme brumeux, le Cloud

Un paradigme brumeux, le Cloud

Quand Internet est apparu, les moteurs de recherche du style Google on indexé des tas de fichiers. En pratique l’indexation d’un texte nécessite un espace de stockage de l’ordre de grandeur de celui du texte. Autrement dit, très rapidement les capacités d’enregistrement de Google sont devenues gigantesques et les contenus des sites Web ont finalement utilisé le double de leur espace grâce aux indexes de Google. Depuis les délires de « partage » de n’importe quels fichiers chez les ados, mais pas seulement (leurs parents aussi), un même fichier existe en une multitude de copies. Comme les mots ne veulent plus rien dire et ne servent plus qu’à manipuler les populations transformées en zombies, peu de gens savent que ce fameux « partage » est le mot d’ordre que Lucifer a fourni à l’antéchrist. Avant de vous moquer, regardez autour de vous pour constater que c’est bien ce qui se passe, ce qui n’implique ni la réalité de Lucifer ni celle de l’antéchrist, juste ce qui a lieu dans le « monde réel » comme on dit sans se rendre compte que ce n’est qu’une infime partie du « Vrai Monde Réel ». On peut partager une tarte entre copains, plus on la partage, plus les parts sont petites, mais on ne peut pas partager une idée, on ne peut que la dupliquer. Et c’est pareil pour les fichiers, quand vous partagez la vidéo du premier caca de votre petit dernier sur vos « réseaux sociaux », vous en faites des copies, en supposant que vos cibles les conservent. Du coup, les espaces de Google et Bing deviennent bêtement doublonnés par les fichiers dupliqués, car leur duplication oblige malgré tout la duplication des données indexées, ce qui est ridicule. Alors pourquoi ne pas enregistrer une seule fois des données auxquelles plein de gens vont accéder, ce qui permet le fameux « partage » sans la duplication ? C’est une des premières occurrences de la directive du NWO visant à supprimer la propriété privée. On nous promet la 5G en 2020 pour pouvoir télécharger un film entier en une seconde… Mais dans 6 ans on ne va plus rien télécharger du tout, tout sera sur le Cloud. Les applis y sont déjà. Comprenez bien que la technologie actuelle est transitoire. Par exemple, servez vous du GPS de votre smartphone pendant une ballade à la campagne. Au milieu de nulle part, essayez de changer votre itinéraire. Assez souvent votre engin vous dira qu’il ne peut pas contacter le Web. Pourtant la carte gigote sur votre écran ! Oui mais le GPS utilise des satellites alors que le Web utilise encore des réseaux terrestres la plupart du temps. La solution c’est que le Cloud vienne aussi d’un réseau de satellites, ce qui va vous garantir de rester connecté avec votre stockage virtuel où que vous soyez sur votre dinghy au milieu du pacifique. Et dans 6 ans il est probable que votre tablette n’aura même plus de SSD (Solid State Disk), en tout cas pas plus gros qu’une microSIM, puisqu’il n’y aura plus que les morceaux du système d’exploitation qui sont nécessaires à son fonctionnement. Mais alors, on n’aura plus rien à nous ? Si, vous aurez des trucs À VOUS mais plus CHEZ VOUS. Mais ne vous en faites pas, ça fait déjà longtemps que c’est comme ça. Quand Hollande pleurniche chez Obama parce que ce n’est pas « correct » qu’un pays espionne ses alliés, ce qu’il peut être pitoyable ! Non seulement la NSA le fait depuis des années, mais même à l’origine des cartes de crédits, bien avant le Net, le réseau SWIFT était accessible par toutes les banques et tous les flics de la planète. Et aujourd’hui, on nous dit que dans les ordinateurs Dell, la NSA fait installer un chip qui lui permet d’en prendre le contrôle dans toutes les situations. Pourquoi seulement chez Dell ? Il faudrait trouver de quel concurrent vient l’information. Avec les smartphones et les tablettes, on peut même se demander si les chips RFID sont encore nécessaires… C’est vrai que ces chips seront implémentés dans nos corps alors qu’on peut toujours jeter son téléphone dans une poubelle… Si vous voulez vous tenir au courant, suivez les séries TV américaines comme « Person of Interest » vous y verrez des gens en train de se pirater leurs téléphones à tout bout de champ et rappelez-vous que les sociétés dites secrètes ont besoin de se faire de la pub pour faire peur et que leur canal privilégié est la vidéo. Si l’argument de la série que je mentionne ne vise même plus à effrayer mais à convaincre le public que c’est inévitable et à ne pas râler, la plupart des manips techniques présentées, sont tout à fait réalistes. Ce changement de paradigme est évidemment très partiel puisqu’il ne concerne que la population de notre planète, mais il faut en tenir compte dans l’élaboration d’une vraie vision du vrai monde qui tienne compte en particulier de la psychologie, parce que le Cloud maîtrise apparemment le sujet à nos dépens. Et ce Cloud n’est qu’une toute petite partie d’un changement à partir d’un paradigme récent pas complètement connu et auquel il faudrait tout de même opposer une alternative… et pour lequel on a besoin de génies.

Les commentaires sont clos.