Une nouvelle magouille médicale dénoncée par « Alternative Santé » !

En recevant leur numéro 26 de juillet 2015 d’Alternative Santé, je me suis rendu compte que je ne vous avais jamais parlé d’eux… Ce que je regrette, pas tant parce que je dois à une de leurs petites annonces le fait d’avoir trouvé mon éditeur, qu’à cause de l’intérêt des informations qu’ils sont à peu près les seuls à fournir sur le domaine très désinformé de la Santé. Dans l’édito de ce numéro, le rédac’ chef Paul Dupont nous en apprend de belles sur un truc que l’ANSM a laissé passer ou initialisé et qui voudrait qu’un produit au nom barbare soit dangereux dans les compléments alimentaires et pas dans les pilules contraceptives. En plus en y regardant de plus près, il ne s’agit pas du même produit : l’un des deux est naturel et plutôt bénéfique alors que l’autre est synthétique et réputé cancérigène, mais notre Agence Nationale n’a rien à faire de ce genre de détails, elle n’est là que pour protéger la santé des industries pharmaceutiques, pas la nôtre !

L’allopathie, une médecine de gangsters !

C’est ce qui ressort de « Murder by Injection » un livre de Eustace Mullins, historien de la Haute Finance, qui nous indique que les adhérents à l’AMA, (American Medical Association) depuis sa fondation en 1847, s’engagent à ne JAMAIS COMMERCIALISER de produits qui n’aient PAS D’EFFETS SECONDAIRES. Autrement dit les fabricants de médicaments sont bien des gangsters revendeurs de drogues, come les voyous de la rue, mais avec la bénédiction des flics et de la justice.

Dans le civil, les gens se droguent aussi parce que ça leur fait voir la vie plus belle et ils se foutent des conséquences sur leur santé au nom de « Il faut bien mourir un jour », ce qui garantit leur irresponsabilité. Mais, le malade, lui, si c’est aussi pour soulager des douleurs ou un mal-être, ne prend pas ce qu’il croit être des remèdes pour tomber de Charybde en Scylla !

En plus, comment un produit allopathique pourrait-il ne pas avoir d’effet secondaire ? Ce n’est pas la peine de s’y engager en plus, pour nous assurer de leur préméditation ! L’allopathie consiste à prendre des drogues dont on a constaté l’effet sur tel ou tel symptôme, autrement dit dès le départ, elle n’a rien à voir avec l’étiologie dont elle se fiche royalement.

Le fait que le corps ne soit pas une simple éprouvette inerte mais comporte un nombre énorme d’asservissements, c’est-à-dire de « boucles de feedback » qui font que tout ce qu’on ingère, si ça n’est pas digéré, donc assimilé, se trimbale dans tout l’organisme le long de ces boucles. On sait qu’on a affaire à un asservissement dès qu’un paramètre reste constant quand le milieu varie. Comme la température de notre corps.

Ce n’est évidemment pas la seule perle de ce numéro d’Alternative Santé, mais je vous laisse découvrir les autres tout seul.

Tout de même, je m’en voudrais de ne pas sauter sur mon dada des vaccinations. D’abord « Alternative Santé » nous signale que le Pr Joyeux, dont j’ai déjà parlé ici, vient de se faire attaquer par l’Ordre des Médecins pour ses propos anti-vaccinalistes que je trouve pourtant bien tempérés ! L’Ordre, rejeton de Pétain, ne pouvait évidemment pas laisser passer ça…

Mais en page 5, on apprend aussi que « La rougeole se gausse du vaccin ». Et on a droit à l’inévitable pleurnicherie des « Autorités » sur la « couverture vaccinale insuffisante », car il paraît qu’il serait nécessaire d’atteindre 96 à 99% pour que tout le monde soit protégé !

Pendant combien de siècles va-t-on essayer de nous faire croire que c’est à cause des gens qui ne sont pas malades que les vaccinés risquent de l’être ? Autrement dit, soit les « responsables » eux-mêmes ne croient plus à cette escroquerie de la « protection vaccinale » ou ils sont des crétins depuis le début !

Toutes ces conneries sur la contagion oublient une forme du fameux problème de la poule et de l’œuf : d’où sort le premier malade ? Vous n’avez jamais entendu parler que de Pasteur et de Jenner, et jamais de Béchamp, Tissot, Taxis, Grigoraki, ou Louis-Claude Vincent ! Pourtant ces derniers ont vérifié ce qu’un simple examen aurait déjà indiqué, c’est que pour se développer un microbe, comme toute forme de vie, doit avoir un environnement adéquat, sinon il crève ! L’expérience clé, ici consiste à faire varier le pH d’une solution contenant des globules blancs humains (ou autres) ! Et on les voit se décomposer en une succession de bacilles ou de virus en fonction du pH. Si on revient au pH du sang en bonne santé, les globules blancs réapparaissent. Ce que vos profs de science ont appelé une cytophagie (phagocytose) est en fait une cytogénèse, et voilà le problème de l’œuf et de la poule résolu : il suffit d’avoir une solution avec des débris organiques ayant le bon pH pour que les bestioles se présentent et se multiplient.

Les trois paramètres de Vincent…

Celui qui a été le plus loin dans ce domaine est le Vincent que je viens de citer et qui a créé la Bio-électronique, son Association (ABE) publie aussi un magazine : « Sources Vitales » que je vous engage également à lire en complément à Alternative Santé.

Vincent a réussi à faire une cartographie précise des microbes en fonction du pH déjà cité, et du rH₂ , le premier déterminant l’acidité et le second le potentiel d’oxydo-réduction (un truc en rapport avec les antioxydants qu’on vous encourage à prendre un peu partout pour compenser l’oxydation engendrée par la bouffe industrielle, entre autres).

Mais il y a un troisième paramètre identifié par Vincent qui rend très bien compte des conditions de contagion : la résistivité, habituellement représentée par la lettre grecque rhô (ρ). Cette résistance électrique est aussi celle qui concerne la résistance à un bouleversement électrique (comme une infection) que subirait un corps (humain, animal, végétal). Si ρ est faible, un bouleversement chimique (donc électronique) va s’étendre très facilement, et l’individu qui vient de se faire infecter va tomber malade. Si ce ρ est élevé, le bouleversement va se ratatiner devant le volume sanguin à son pH normal et rien ne va se passer de plus qu’un petit bobo local. Le pH et le rH₂ sont surtout déterminés par l’alimentation et quand une population se nourrit de façon homogène et déséquilibrée, les conditions sont idéales pour les épidémies qui ne toucheront en pratique que les personnes avec un ρ trop faible. C’est aussi pour ça que, dans un service hospitalier, tout le personnel ne chope pas obligatoirement et instantanément les maladies des patients !

Ces découvertes ne peuvent pas intéresser l’ANSM, ni l’Ordre des Médecins, parce que le fait d’en tenir compte aboutirait à la faillite des industries pharmaceutiques, et on ne va pas risquer de mettre au chômage tous ces bienfaiteurs de l’humanité, en fait d’une humanité limitée à tout ce qui concerne les pharmaciens et les toubibs, mais pas leurs patients.

Les anciens Grecs aussi savaient ça : « Votre aliment est votre meilleur remède » disait Hippocrate dont les médecins étaient tenus d’observer le serment : « D’abord, ne pas nuire ». Le fait de garantir que tous les remèdes aient des effets secondaires n’est peut-être pas la meilleure façon de respecter ce serment ?! Mais c’est de la faute aux labos, les toubibs n’y sont pour rien, eux au moins sont « respectables » et « responsables » !

Mais le phénomène de la Vie qui consiste à sacrifier une forme pour en alimenter une autre, la substance du sacrifié devenant, par digestion, en partie celle du consommateur par assimilation, et en partie des excréments variés, ce phénomène dis-je a l’air d’avoir échappé à nos génies « scientifiques ».

Pour en donner une illustration : la substance d’une carotte sacrifiée par le lapin qui la bouffe va devenir en partie de la chair et des crottes du lapin, et la chair du lapin elle-même, s’il est sacrifié par un renard, va devenir de la chair et des crottes du renard…

Vous ne vous en souvenez probablement pas, mais c’est ce qu’a démontré un certain Jésus de Nazareth, ci-devant incarnation du Verbe divin, en donnant un morceau de pain à ses disciples pour qu’ils le mangent « En souvenir de Lui », Son Corps étant « Sacrifié pour tous », et sachent donc qu’ils se nourrissent avec le Corps du Verbe quelle que soit leur nourriture, et en rendant grâce à Son Père d’avoir tout prévu pour leur alimentation, comme le font sans le savoir tous les animaux de la planète aux dépens des plantes ou des autres espèces…

Pour les Hindous, un sous-homme vit pour son plaisir, un Homme digne de ce nom vit pour son devoir, et un sur-Homme vit pour les autres… Dans quelle catégorie tombe le mec qui ne vit que pour le goût de ce qu’il bouffe ? Dans la catégorie des « malades », une forme particulière de « sous-hommes » !

Bouffez industriel, pasteurisé, et goinfrez-vous de médocs et vous aurez la maladie correspondant à votre mode de vie, et dont la source s’appelle communément la connerie… Le principal facteur du déficit de la Sécu, à la suite de la connerie de ceux qui l’ont instituée en pensant que la médecine de l’époque avait tout compris. Autrement dit depuis 1830 les politiciens essayent de nous rendre les cobayes de la médecine et de ses complices (principalement l’industrialisation de l’agriculture et des productions alimentaires qui ne fabriquent plus notre « meilleur remède »)…

Le passage des végétaux aux animaux n’est qu’une partie du cycle vital et peut-être vous expliquerai-je un jour comment le sol nourrit les graines de l’extérieur et s’alimente lui-même des déchets (crottes et cadavres) pour boucler le cycle, ce qui est au-delà du Verbe, et parlerai-je aussi d’autres caractéristiques du même Verbe… Si vous êtes sages !