La thérapie du 21ème siècle sera-t-elle quantique, métaphysique ou simplement logique ? (N°15 OBE)

La thérapie du 21ème siècle sera-t-elle quantique, métaphysique ou simplement logique ? (N°15 OBE)

La thérapie du 21ème siècle sera-t-elle quantique, métaphysique ou simplement logique ? (N°15 OBE)

OBEBon, je ne vais pas me sortir de cet examen des conceptions du Dr Anthony si je ne me sers pas de mes expériences personnelles. Parce que je n’ai pas de références scripturaires pour illustrer tout ce que j’en sais par expérience directe, mais vous pourrez voir que ça ne contredira rien et même en fait que ça va illustrer pas mal de choses… J’ai vu, il y a longtemps, le témoignage de l’expérience de mort imminente de Pierrette Brès, la commentatrice hippique. Ça n’était pas très courant à l’époque. Et c’était moins les aspects mystiques que le fait d’avoir été extérieure à son corps qui m’avait accroché.

On est mieux dehors : vive les OBE

Ce n’est que des années plus tard que j’ai eu l’occasion de sortir de mon corps un certain nombre de fois, que j’ai eu l’opportunité de faire sortir d’autres de leurs corps, et aussi de rencontrer des gens qui le faisaient spontanément et à peu près continûment. Ce n’est pas tant le nombre de mes sorties que leur durée qui m’a permis de pouvoir en détailler bien des aspects. De nos jours les OBE (Out of Body Expérience) sont devenues presque monnaie courante. En tout cas la « Grande » Presse en parle à l’occasion, donc c’est vrai ! Parce que si la « Grande » Presse n’en parle pas, c’est des fadaises…

Ces OBE peuvent arriver à n’importe qui et n’importe quand, et quand je dis que j’en ai fait expérimenter à d’autres, ce n’est pas que j’ai une méthode, c’est que je faisais faire des processus qui pouvaient aussi déclencher ça, la preuve ! Or j’aimerais beaucoup connaître un « truc » pour provoquer des OBE tellement leurs conséquences peuvent être phénoménales. Notez qu’une opération sous anesthésie ne garantit pas non plus d’OBE, ni de NDE (Near Death Experience) donc n’essayez pas d’avoir besoin de vous faire opérer, c’est prendre bien des risques pour un résultat TRÈS incertain.

Je vais essayer de vous donner une idée de ce qui se passe. Tout en sachant à quel point ça peut être incroyable. Mais c’est beaucoup plus fréquent que de gagner au Loto !

En ce qui me concerne, mes OBE ont toujours fait suite à une énigme que j’avais à résoudre et m’en ont donné la solution. Et elles m’ont toujours emmené trop loin de mon corps pour que je puisse le voir.

Mais en fonction des témoignages que j’ai recueillis de personnes qui étaient extérieures à quelques mètres de leur playmobil, je peux vous dire que le fait de VOIR qu’on est à côté de son corps qui, lui, a les yeux fermées (en particulier depuis le plafond à l’occasion d’une opération chirurgicale) est de nature à vous faire poser des questions. « C’est quoi qui voit ? »

Et ça peut être le début d’une avalanche de surprises. Si une table ou un paravent vous gène pour voir ce qui se trouve derrière, ils vont devenir transparents ! Là c’est quand même bluffant : ce que vous « voyez » n’obéit plus aux lois de l’optique… Un de mes copains se servait de cette particularité pour travailler sur des réseaux électriques en coupant la lumière !

Si vous vous rappelez de ce que le Sankhya nous a expliqué, vous pouvez comprendre maintenant pourquoi les ahankaras munissent leurs âmes avec autant de canaux de perception ! Et leurs corps aussi. Voilà pourquoi nous avons deux yeux. Parce que depuis un point-de-vue unique, les esprits sont conscients du relief et qu’ils veulent que leur corps ne leur fasse pas perdre cette impression de troisième dimension (qu’ils ne veulent pas que leur corps leur fasse perdre cette impression de troisième dimension), qui du point de vue de l’optique nécessite deux points de vue distincts et un truc dans le mental pour bidouiller les deux images et recréer l’impression de profondeur à transmettre à l’esprit. La même chose pour les oreilles, puisqu’un esprit entend en stéréo, et même en ambiophonie. D’ailleurs l’esprit voit aussi bien derrière que devant lui, au-dessous ou au-dessus. Il faut croire que voir ce qui se trouve devant son corps suffit à l’esprit parce que le son le renseigne plus complètement sur les menaces proches de quelque côté qu’elles viennent. Quand il choisit de prendre son point-de-vue dans son corps, l’esprit le pend le plus souvent entre les yeux un peu derrière le front, parce que ce ses yeux lui montrent est à peu près ce qu’il verrait en direct… Ce qui est plus difficile à gober c’est qu’en état de conscience directe, notre esprit peut avoir conscience de CE QU’IL VEUT, ce qui fait dire à certains expérimentateurs que dans cet état là, ils sont omniscients. Et de fait, on expérimente qu’on a les réponses à TOUTES les questions qu’on pose… Sauf que celles qu’on pose sont basées sur notre expérience commune et donc qu’on ne pose pas les bonnes, en tout cas pas celles qui nous permettraient d’être vraiment omniscient, en supposant qu’on puisse avoir le temps pour tout ce qu’il y a à savoir. Vous voulez savoir comment se porte votre système sanguin et votre chair va devenir transparente pour que vous puissiez voir vos artères et vos veines. Vous voulez savoir à quoi pense le connard dans le couloir et vous avez la réponse. Vous vous demandez ce qu’est ce volume grisâtre qui entoure votre môme et vous saurez que quelqu’un lui en veut, et même qui. C’est facile à vérifier en interviewant l’« ennemi ». Une fois c’est même lui (elle…) qui a déclaré : « Je sais que tu sais, et je m’en fiche ! ». Car évidemment, il faut vérifier tout ce qui peut se constater dans des conditions « normales » pour ne pas se laisser berner…

Évidemment on peut se dire que si tout le monde vit comme ça on pourra encore moins garder nos secrets que ce que la NSA, le NRO et le Mossad nous chipent tous les jours…

J’ai pas le temps…

Mais c’est pas fini !

Pour l’instant vous pensez que le voyage hors du corps s’effectue dans l’espace ! Bien sûr, mais pas seulement… Et il peut y avoir de quoi étonner notre Docteur Anthony. En fait pour être plus précis, ce n’est pas votre esprit qui sort du corps, il n’y a jamais été puisqu’il est hors de l’espace et hors du temps. C’est qu’en étant « responsable » d’un corps et de son mental, il « choisit » un point de vue lié à ces deux gadgets sans comprendre forcément à sa naissance que son lien avec eux n’est pas de nature corporelle, mais causal, logique, et donc qu’il peut continuer à piloter son corps même en étant à des milliers de kilomètres ou à des jours de lui dans le passé comme dans le futur ! Et c’est cette trouille qui amène la plupart des gens à rester dans leur corps, et aussi malheureusement, dans leur âme qu’ils « meublent » n’importe comment.

Quand vous conduisez une voiture sur une route que vous ne « voyez » pas parce que vous ÊTES DÉJÀ LÀ où vous allez, et que cette image se superpose à ce que vos yeux vous transmettent, vous ne trouvez pas forcément que ces expériences soient toutes enthousiasmantes… Mais bon, vous finirez par arriver, et vous saurez alors que votre esprit était déjà là depuis 20 minutes…

Ce qui m’amène à parler des mauvaises nouvelles (relatives) liées à cette histoire de « sortie du corps ».

Voici une courte liste des événements qui les provoquent à peu près automatiquement ! Un choc, une blessure, un accident, la prise d’une « drogue » chimique (alcool, tabac, shit, médicaments allopathiques), une vie routinière sans intérêt, des céphalées ou des migraines. Vous avez sûrement trouvé des éléments que vous connaissiez dans la liste, et pourtant, les sorties du corps ne vous évoquent rien ! C’est parce que pour être spectaculaire, une « sortie du corps » doit avoir lieu avec la conscience de l’endroit où nous nous trouvons. Et c’est cette conscience qui est rare, parce que nous nous sentons trop responsables de ce qui peut arriver à notre corps. Et que nous voulons continuer à surveiller son environnement, et nous rejetons les informations qui nous viennent en direct.

Cette obsession a des conséquences plus ou moins drôles. Par exemple, si vous avez des maux de tête à répétition, vous pouvez être sûrs que vous êtes hors de votre corps. Tâchez de trouver quelqu’un qui peut vous aider à « rentrer chez vous », ça vous évitera de vous goinfrer d’aspirine, d’autant qu’une fois l’intériorisation effectuée vous n’aurez plus jamais mal à la tête contrairement à l’aspirine dont l’effet est particulièrement temporaire.

« Et vous avez quoi pour la gueule de bois » ?

Cette histoire d’aspirine et d’ailleurs assez amusante : votre esprit qui est « fait » pour revenir où son devoir l’appelle, fabrique de l’énergie pour revenir derrière votre front. Comme si de l’énergie physique pouvait concerner un être spirituel. Vous feriez mieux de l’utiliser pour faire de la psychokinèse (l’action de l’esprit sur la matière) pour jouer au flipper sans toucher les boutons, ou diriger votre voiture sur le verglas. Car votre cerveau (ou votre tête) est sensible à cette énergie, et c’est pourquoi vous souffrez. L’aspirine fait le même effet qu’une goutte de gin ou de cognac quand vous êtes bourré : cette décision consciente justifie pour votre esprit que vous soyez hors de votre corps et l’induit à arrêter de vouloir y « rentrer » en faisant des efforts ! Ça c’est de la médecine quantique !!!

Or contrairement à l’interprétation d’Anthony, ce qui peut se balader dans le futur n’est pas notre mental (notre âme) qui peut difficilement laisser tomber son corps sans le tuer, mais notre esprit. Et voici ce qui se passe dans l’expérience dont je parlais dans l’épisode précédent avec les ECG, EEG et les images d’ordinateur. Les cobayes sont prévenus qu’ils vont voir des images de différents types dont on a enregistré les signatures cardiaques et encéphaliques. L’esprit du cobaye va partir légèrement dans le futur (une fraction de seconde) parce qu’il veut « savoir » sans vraiment quitter le corps dont il a la garde. La liaison causale logique avec son corps signale à ce dernier que la conscience de l’image est arrivée bien que l’esprit ne s’en aperçoive pas, trop occupé à regarder l’écran vide. Cette interaction à lieu dans la poitrine, au cœur de l’être, pas nécessairement le cœur physique encore que ce dernier soit situé dans les poumons, c’est-à-dire au centre de la respiration, là où se trouve l’air qui est la partie la plus légère du corps (c’est la définition du mot esprit !). Puis l’influx nerveux transmet la « secousse » du cœur au cerveau, assez vite pour que l’EEG enregistre l’événement avant que l’image n´arrive à l ‘écran.

Un joueur de tennis doué fait à peu près la même chose : il se place légèrement dans le futur pour percevoir l’intention de son adversaire, ce qui lui permet de se placer au bon endroit dans la demi-seconde que dure le service. Dans son cas, ce n’est pas une image dont il attend d’être conscient, mais une intention, quelque chose de parfaitement mental et relativement facile à capter.

Mettez-vous un peu au courant…

Les électropsychomètres du 19ème siècle ont disparu en 2015, mais vous pouvez jouer avec un banal ohmmètre. Tenez-en les extrémités des électrodes avec vos mains. Si votre mental n’est pas préoccupé, la résistance de votre corps flottera mollement avec une allure sinusoïdale. Si c’est le cas, posez-vous un problème difficile : la valeur de la résistance va se figer et avoir tendance à monter. Décidez que vous n’avez plus rien à faire de ce problème et la résistance devrait rechuter vers la valeur du début de l’expérience !

Cette « résistance du corps » que vous mesurez est influencée par les réactions de votre corps aux influences de votre mental. Et on peut constater nettement que ces réactions n’arrivent pas « en avance », simplement en demandant à quelqu’un de vous pincer et l’ohmmètre réagira au moment précis du pincement. Vous pourrez reproduire cette réaction en repensant au moment du pincement.

En commençant cet épisode je n’avais pas une idée claire de la place qu’il allait prendre, et je constate que j’ai encore quelques remarques à faire sur les relations entre l’esprit, l’âme et le corps, toujours d’un point de vue expérimental, avec une pincée de Doctrine, si l’occasion se présente.

À bientôt donc…

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