La thérapie du 21ème siècle sera-t-elle quantique, métaphysique ou simplement logique ? (N°43 Esprit)

La thérapie du 21ème siècle sera-t-elle quantique, métaphysique ou simplement logique ? (N°43 Esprit)

La thérapie du 21ème siècle sera-t-elle quantique, métaphysique ou simplement logique ? (N°43 Esprit)

Quantique ou magique ?

On récapitule pour être sûr que vous allez savoir comment faire, parce que ce dont je vais parler, je ne l’ai pas testé à fond, faute de temps.

Fondamentalement, ce que j’appelle une thérapie quantique s’apparente à la magie ou à la sorcellerie : ça consiste à obtenir des résultats thérapeutiques par l’utilisation de la seule pensée, parfois avec la complicité involontaire du mental dont on détourne les mauvaises habitudes.

La différence entre l’esprit et le mental, répétons-le, c’est que l’esprit est capable d’« être conscient », alors que le mental est tout juste bon à « percevoir », et encore avec l’aide du corps, très souvent. Autrement dit le mental est tout juste bon à stocker des pensées, et à les faire rejaillir plus vite qu’un moteur de recherche parce qu’il ne fonctionne pas avec des « adresses mémoires », mais directement avec le contenu de ses mémoires (connu comme « mémoires adressables par le contenu », comme l’Univers, soit dit en passant…). Ce qui peut vous sauver la vie, si sa réaction est appropriée, ce qui n’est le cas que pour sa programmation de base, son BIOS comme dirait encore un informaticien ! Donc avant votre naissance et dans un environnement et des conditions prévues par son architecte.

Mais pour tout ce que l’esprit lui confie mais dont il ne veut pas entendre parler, c’est généralement désastreux.

La différence majeure ou unique entre les manips quantiques et la magie ou sa frangine noire, c’est l’utilisation des invocations. Mes processus quantiques ne font appel à aucune « aide extérieure spécifique » alors qu’un mage ou un sorcier va appeler à son secours du personnel spécialisé dont il est censé connaître les particularités et savoir le mettre à son service.

Vue la puissance des auxiliaires mis à contribution, une erreur de manip peut s’avérer catastrophique.

Je discutais, il y a longtemps, avec une mambo (une prêtresse vaudou) qui me disait que la question la plus fréquente qu’on lui posait était pour savoir si ses « loas » (ce quelle invoquait pendant ses cérémonies) étaient bénéfiques ou maléfiques ? Et Mathilda répondait : ils sont comme moi, si on sait me prendre, je suis adorable, sinon je suis une vraie teigne, méchante et dangereuse ! (Mais elle était très belle, qu’on sache la « prendre » ou non…)

Les « loas » (ou les « esprits », ou les démons) tiennent leur puissance du fait de n’être pas prisonniers d’un corps et assujettis à l’endroit et à la date où le corps se trouve. Leur spécificité est qu’ils ont besoin d’un corps pour communiquer avec nous, ce qu’ils font en le fauchant aux assistants le temps d’une cérémonie, quand on sait comment les appeler et les renvoyer pour avoir la paix quand c’est fini. Autrement dit, tout ce qui est faisable en « sortant du corps », les démons savent le faire. Et inversement ce que les démons savent faire va bien plus loin que ce à quoi on arrive en sortant de nos corps à cause de notre culture qui nous a rendus impuissants par ses absurdités.

Deux catégories d’actions : les pensées pour réaliser et les pensées pour nettoyer

Donc quand il s’agit d’utiliser le seul esprit, il va s’agir d’avoir des pensées « positives » !

Le prototype pourrait en être le « flip switch » de notre Anthony (Je choisis de me sentir bien maintenant), à ceci près qu’il prend peut-être une précaution de trop en précisant qu’il s’agit d’un choix, et que d’autre part son objectif paraît bien timide! Pourquoi ne veut-il pas simplement demander : Je vais bien à partir de maintenant ?

Très souvent les mourants passent par une phase de « mieux avant la fin » pendant laquelle ils se sentent très bien. C’est pour ça que je dis que l’objectif d’Anthony n’est pas suffisamment ambitieux. Un camé aussi prend sa drogue pour « se sentir bien ! »

C’est comme ses remarques sur la « négativité implicite » de certaines formules comme « je n’aimerais pas être malade » dont il attribue les inconvénients à son hypothétique Loi de l’Attraction alors qu’elle ne vient que de la pure logique : on ne peut pas refuser quelque chose sans que cette chose existe.

La Logique ou la Loi de l’Attraction ? Pas vraiment d’option !!

Or si nous n’invoquons pas d’esprits étranges, c’est parce que nous n’avons pas besoin d’appeler le Verbe à notre rescousse puisqu’Il est TOUJOURS LÀ ! À notre écoute et à notre disposition : Et la Logique est SON domaine exclusif (Il est le Logos!).

Donc si on Lui dit la phrase précédente, Il va d’abord faire exister ce que nous appelons la maladie, même s’Il sait bien que ce n’est qu’une abstraction humaine, mais dont Il connaît les caractéristiques, et après l’avoir créée, Il fera en sorte qu’on n’aime pas ça !

En fait à l’École de la Logique on apprend aussi à ne pas parler au conditionnel puisque la seule date familière au Logos, c’est l’éternel présent ! Ce qui ne veut pas dire qu’on ne peut pas Lui demander une date précise, qu’il connaît évidemment aussi, mais sans indication de ce genre, notre déclaration « flottera » dans le temps sans se réaliser puisqu’à tout moment le conditionnel reste « conditionnel » !

La plaisanterie attribuée aux barbiers qui affichent « On rase gratis, DEMAIN » vient exactement de la même inspiration, puisque jusqu’à la fin des temps, on aura un « demain » tous les jours… Et les barbiers de moquent de ce qui se passe après : « Après eux le déluge ! »

L’effacement direct des obstacles !

Quand un obstacle ne vient pas d’un enregistrement dans le mental, comme on l’a vu à propos de l’alcool ou de l’acide urique, sa simple observation par l’esprit, le fait s’évanouir, puisqu’on mentionne quelque chose d’existant et que le Verbe sait alors qu’il faut le « démanifester », de la même façon qu’il va manifester la pensée de ce qui n’existe pas. Ce double « passage » peut s’interpréter comme une occasion de montrer au Verbe qu’on Lui fait confiance et qu’on sait comment Il fonctionne.

Rappelez-vous que le simple changement consiste à « démanifester » un état donné pour en manifester un nouveau, les deux opérations étant évidemment simultanées, sauf pour nous qui insistons pour que le temps s’écoule en nanosecondes.

Puisque Lui-même nous a dit qu’il était une « épée à double tranchant » : un tranchant qui manifeste ce qui est possible, et un tranchant qui fait « retourner » une manifestation à sa possibilité… en fait qui efface purement et simplement cette manifestation sans toucher à la possibilité qui est indestructible par nature.

J’ai discuté un jour avec un type qui avait regardé une image mentale chez son chat malade et dans laquelle il était coincé. Comment voit-on une image mentale chez quelqu’un d’autre ? C’est pas aussi facile que de regarder l’alcool dans son corps, puisque là il est assez improbable qu’on puisse le VOIR, et qu’on ne demande d’ailleurs que de « regarder », mais, essayez de le « considérer » (pour reprendre ce mot qui nous relie au étoiles !) : « Je vois l’image qui bloque mon chat ! », et vous verrez bien (c’est le cas de le dire !), parce que si vous voyez l’image, le Verbe va la « démanifester » et votre chat sera guéri, comme c’est arrivé au chat du type dont je parle…

Ce premier type d’action « directe » de l’esprit, en utilisant une considération, soit de quelque chose qui n’existe pas pour le manifester, soit de quelque chose d’ennuyeux pour s’en débarrasser, DEVRAIT TOUJOURS ÊTRE ESSAYÉE.

Si ça ne marche pas, c’est qu’on a affaire à une gaminerie enregistrée dans le mental, ce dont nous allons nous occuper à présent.

Les faux amis issus de notre lâcheté ou de notre démission…

L’humilité ne devrait pas être confondue avec une trahison ! Même si on est tombé du Paradis à cause d’une curiosité maladive pour connaître le mal qu’on n’avait pas là-haut, on n’en est pas moins des images de Dieu et on devrait faire en sorte d’en être dignes.

Ceux qui ont eu la chance d’avoir des expériences hors du corps, SAVENT qu’ils sont de purs esprits s’ils n’ont pas intellectualisé leur expérience sur la base de ce qu’ils avaient compris (ou cru comprendre) de travers de l’ésotérisme.

Ils devraient avoir vérifié que dans cet état de pur esprit, toutes leurs questions même les plus farfelues trouvaient des réponses instantanées (une impression fallacieuse d’omniscience parce qu’elle demande du temps pour poser les questions…).

Ils devraient avoir vérifié que dans cet état ils ne sont plus assujettis aux lois de la « Nature » telles que les physiciens les imaginent, en particulier celles de la lumière physique (voir mon Expérience des 25 siècles!).

Et s’ils ont été attentifs, ils ont pu remarquer qu’ils ont vu CE QU’ILS VOULAIENT VOIR et que ce qui ne les intéressait pas n’apparaissait pas non plus.

Également qu’ils se sont retrouvés à l’endroit et à la date où ils pouvaient avoir les réponses à leurs questions même s’ils ne savaient pas où et quand il fallait aller… Tout écho du « Demandez et il vous sera répondu » a l’air de s’appliquer…

Autrement dit, ils devraient SAVOIR qu’ils sont des images de Dieu pour peu qu’ils aient une notion un peu claire de ce qu’est leur Modèle ! Omniscient et Tout Puissant ! Bien que n’ayant pas de corps pour faire tout ce qu’Il a fait.

Notre première erreur est d’attribuer à notre corps des capacités que nous n’aurions pas en tant qu’esprit et de le croire nécessaire pour agir alors qu’il ne peut agir, comme nous, que grâce au Verbe. Voulons-nous attraper avec notre main une bouteille sur une étagère qu’il suffit de considérer, et puisque c’est possible, parce que cette bouteille existe, le Verbe va piloter les muscles de notre bras, sans qu’on ait besoin de savoir lesquels en détail pour attraper la fichue bouteille. Mais si ma copine Nadine voulait mettre la bouteille sur la table, elle n’avait pas besoin de se lever pour que la bouteille arrive sur la table toute seule, parce que le Verbe, toujours Lui, sait que le paradigme de Nadine n’a pas prévu de devoir utiliser un corps pour déplacer les objets…

C’est pour que vous puissiez vérifier ce genre de choses que je vous ressasse d’essayer de jouer avec la météo ! Vous allez faire mettre en œuvre par le Verbe des quantités d’énergie phénoménales, infiniment au delà de ce qui est nécessaire pour faire passer une bouteille d’une étagère à une table ! Et si, au début, je faisais ce genre d’expériences avec des copains un peu « spéciaux », j’ai eu l’occasion de le voir faire par tout un tas de sceptiques, et j’ai aussi découvert récemment que le jeu qui consiste à se « fabriquer » des places de parking à destination, était bien plus répandu que les confréries que j’ai fréquentées et où c’était, croyaient-ils, leur image de marque…

J’ai donné des indications sur les conditions qui permettent de trouver et de jouer à ces jeux spectaculaires, vous n’avez qu’à relire ce feuilleton…

Venons-en à notre lâcheté : si nous ne comprenons pas, qu’en tant qu’image de Dieu, notre devoir n’est pas nécessairement de courir le 100 mètres en 9 secondes, mais d’être conscients de tout ce qui nous entoure, et que nous en avons non seulement la possibilité, mais le devoir , car Dieu et son Verbe eux, ne sont pas des traîtres, nous ne devrions pas prendre toutes les occasions de devenir inconscients, parce que nous pensons être confrontés à une menace à laquelle nous ne pourrons pas faire face !

Et notre fascination pour les automatismes qui font tout à notre place (la prochaine génération d’automobilistes ne saura plus se garer en faisant des créneaux…), est passée par la découverte que notre corps était équipé d’un mental qui en assurait les opérations de base (respiration, circulation, digestion, accommodation (autofocus) et réglage de l’exposition pour les yeux, etc.. Et nous avons rapidement découvert que nous pouvions utiliser cette possibilité d’automatisation pour éduquer les réflexes de notre corps même dans des situations pas programmées au départ.

Seulement voilà, on n’a pas vraiment eu le mode d’emploi, perdu dans la civilisation depuis quelques siècles et qu’il va falloir retrouver… Commençons déjà par voir nos confusions.

 

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